2653 Samedi Un février 2025
(je dispose d’une souris qui va bientôt cesser son usage) (un clavier qui commence à refuser espace et k) participation envisagée cependant au bouste (on n’a plus peur de rien, jamais) j’avais à l’esprit cette chanson de la môme tu me fais tourner la tête laquelle indique (la chanson, et la môme) et si y’avait pas d’vie même/nous on s’aimerait quand même ce qui est une description de l’état d’apaisement que provoque l’amour – tant mieux, c’est vrai aussi – je préfère encore ou je préférerai ne pas voir et entendre ce qui se passe dans le monde et ne penser que comme elle qui essuyait des verres au fond du café (ça allait alors moins bien : bah…- parfois Patachou et sa bague à Jules… ou Reggiani qui demande à Arthur où il a foutu le corps ça a une certaine importance…– au lieu de ça, j’écoute l’entièreté d’une série doku réalisée par Béatrice Leca (bravo!) j’examine cette image
due au sonder-commando Alberto Herrera – je me fais du souci pour les tziganes – ça a été une semaine difficile mais je remonte je vois le gué je surnage j’avance – encore que je ne dispose d’aucune nouvelle de cette satanée moquette (la confiance a tendance à s’émousser…) (a-t-on jamais confiance en son avocat ? c’est une question grave, d’autant que mon grand-père qu’on assassinât là-bas faisait partie de cette corporation) – je me soigne, je regarde aldo d’un œil complaisant, je me remets au travail
au ciné (tu vois que ça va mieux) Jouer avec le feu (les Coulin, 2024) (3° long métrage de cinéma – on n’a pas vraiment vu ça déjà, un couple de réalisatrices sœurs, si ? ça ne me dit rien* – on a vu des frères, des mixtes, mais des sœurs ?) (Delphine et Muriel) on applaudit fort – contemporain et sensible – le trio d’acteurs : majeur (Benjamin Voisin et Stefan Crepon en fils de Vincent Lindon) – j’ai adoré notamment quand le père (Vincent Lindon donc, coupe Volpi (du nom d’un fasciste notoire jte dirai mais intitulé du) prix d’interprétation à Venise pour son travail là) marche sur la voie ferrée avec son feu de Bengale (ou de détresse ?) rouge, seul, dans la nuit (une image en cinémascope formidable – Frédéric Noirhomme) (ici taxée au site distributeur ad vitam) (statistiques un peu plus de 143 mille spectateurices en première semaine, pour 361 écrans – à titre de comparaison, au bout de 12 semaines d’exploitation, Le comte de Monte-Cristo (plus de huit millions d’entrées à ce moment-là) était projeté sur 741 écrans)
le ciné-club de Caen m’indique que les sœurs Wachowski existent bien pourtant (jamais vu les Matrix c’est pour ça – ça manque à ma culture sans doute)
plaisir de lire » je vois le gué je surnage j’avance » – vrai
Pour bouster pas sûre de … avais grande envie de tout laisser tomber du wordpress hier… pas à la hauteur et honte de ne pas lire (mais découvert hier votre carnet, me promets d’y aller lire… seulement ai été coincée par des trucs qui s’invitaient hier soir , l’âge, les yeux, les mains m’enseignent la lenteur)
Parfois, je me demande si mon blog manque à quelqu’un… sauf à moi ?
Bon « week-end » et attention aux voies ferrées… 🙂
@brigitte celerier : pour le wordpress à fb, on verra mais le mode collaboratif a quelque chose (on écrira à plusieurs claviers je suppose) on verra on y va – venez ! Merci à vous en tout cas Brigitte (mais venez) :°))
@Dominique Hasselmann : il te manque ? reprends en une tranche… on t’attend en silence, certes… mais on t’attend. A bientôt