Pendant le weekend

2638 Mercredi 15 Janvier 2025

 

 

 

la somme des neuf premiers nombres entiers, élevée au carré, fait deux-mille vingt-cinq – carré parfait donc, et un carré d’ail à L’aiR Nu – merci Kik ! – je ne trouve pas le lien vers la lettre – bah – il semble que les choses n’aillent que dans un sens mais ça ne peut pas marcher – on ne peut donner toujours sans recevoir rien, jamais – RAF* c’est vrai aussi – j’avais pour projet d’élucider parfois ces acronymes (Stendhal quand tu nous tiens – enfin Riton – un de mes préférés et pourtant, lisant la Chartreuse de Parme l’ennui m’avait pris – de la même eau que la lecture de La prisonnière (l’amie Akerman en fit une adaptation pareillement soporifique m’a-t-il semblé (hors les murs bleus et mauves du décor) bien que j’aime assez l’actrice (Sophie Testud) qui l’incarne) (j’ai d’ailleurs omis de demander à l’employée aux écritures si elle avait terminé cette lecture intemporelle (la prochaine fois) (un souvenir gravé lorsque, haut-le-pied je rejoignais Calais pour enquêter le train de nuit qui allait à Nice : j’y lisais à l’ombre des jeunes filles en fleurs et cette lecture m’avait pris ou possédé ou j’en sais rien)) – des heures au téléphone, est-ce bien raisonnable ? l’enfer pavé (ici au parc)

de bonnes intentions – beaucoup marché tandis que Z. bossait sur la table de la salle à manger – lecture infinie de Violence politique et son deuilla petite bijou, le guide de Venise par l’agrégé et l’obsession de ne pas parvenir à écrire (obsession est beaucoup trop fort – j’ai noyé le truc avec un kir comme l’héroïne du livre, vers Vincennes) marcher encore – puis encore – gris par beau temps froid – l’après-midi la sieste a duré deux bonnes heures – en retard pour le rendez-vous avec apap – on peut encore en rire, ce qui n’est pas si mal – back home pour bouillon de légumes (n’y rien voir, ce qui est pénible avec les paranoïaques, c’est que tout leur est et fait signe) (il n’y a pas de signe, il n’y a que la réalité et ses fantasmes)

marre de l’hiver (plus que deux mois) (entrée chez le boucher mais n’y rien prendre – je pense au cassoulet de ce  dimanche – un type (féminin) demandait au tenancier vous savez seulement quel âge j’ai ? (j’aurais dit 58… ou alors 60 ?) eh bien 68 ans monsieur, alors vous n’allez pas me la faire… Grasseyante et vulgaire vaguement fardée, je me demandai alors qui aurait bien pu la lui faire – ? – marcher encore)

 

 

 

 

 

 

*rien à foutre

 

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4 Comments

    accord total sur l’Air Nu… n’arrive pas à relayer et on ne peut indiquer letcure et appréciation.. on prend avec sentiment de recevoir égoïstement – accord sur la Prisonnière et pas vu l’adaptation Akerman
    accord sur cette fin de l’hiver si lointaine (quant à l’écriture… ce que voudrais reste dans mon crâne)

  • La statue devrait être un peu plus couverte ces jours-ci ou aller se faire vacciner contre la grippe ! 🙂

  • (bon, rien à voir, mais je suis hyper contente d’avoir laissé facebook, parce que c’est grâce à ça que je réalise que les carnets de pch c’est tous les jours) (sinon, l’algorithme, et non pas l’algonquin comme le voulait le correcteur, ne me tenait pas au courant) (marchons, marchons))

  • Relecture toujours en cours (il faut dire que j’intercale beaucoup d’autres lectures en cours de route), présentement mon marque-page se trouve dans le tome II de l’édition en Pléiade, entre les pages 640 et 641, ce qui correspond au début du Chapitre deuxième de la Deuxième partie du Côté de Guermantes (pour être précise). Et courage à vous pour la côte.

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