Pendant le weekend

2592 Vendredi 29 Novembre 2024

 

retrouvé ce numéro 100 (2492 donc jours plus tard) :

le 10 juillet 2016 se fêtaient les cent jours de Nuit Debout : à présent, le lien sous le dispositif renvoie à des sites de « rencontres » (je regardais cet article pour Miguel Gomes orthographié Gomez – rectifié) que j’ai viré : il y a quelque chose dans ce contemporain de maçon qui fait penser que ce genre de « rencontre » est du dernier cri – mode – style – savoir vivre : le monde contemporain et ses servants (qui s’auto-nomment dans une lucidité aveugle « victimes de la mode ») se vautre dans la proclamation de sa libido comme d’un trophée, d’un triomphe et d’une réalité individuelle – tonsures et systèmes pileux tatouages boulettes sous le nez au coin des lèvres des yeux oreilles et ce n’est que ce qui est montré – une profonde pitié m’envahit devant ces agissantes turpitudes – je ne vais pas jusqu’à la compassion – par exemple ces égoutiers qu’on ne voit que de loin

petits métiers en grande conversation – la barrière a la courtoisie de cacher la barbalakon de celui de droite qui tout autant en exhibe une – marche en avant (Antelope Cobbler s’est imposé comme nature à réaliser la 2 d’atelier – l’immeuble, la maison, le lieu s’est imposé en allégorie) – ici un fauteuil esseulé devant la vitrine du restaurant à l’œuf mayo Saint James facturé .95 e

(autoportrait au fauteuil stuveux) (pour le repas compter (sans le vin) 150 par personne et réservation ouverte au pékin pour le début du printemps) : que fait-il là ? l’histoire ne le raconte pas cependant solitaire sans table – l’hôtel reste en travaux, plus loin l’aéronef prend son virage dominant la reine : en réalité (sauf s’il s’agit de l’Abondance) cette statue symbolise (dit w) le fleuve lui-même – ce qui donnera je suppose si dieu veut (comme disait ma grand-mère – et non moi-même qui suis mécréant) un aboutissement au texte pour la magnifique revue de Françoise Breton (que je salue d’ici) image en avant première donc

on marchait dans les rues – longuement comme il se doit dit la faculté (qu’on emmerde, c’est vrai, mais qui pose cependant ses diagnostics philtres et médications) – déjeuner en paix – lecture tentative d’épuisement, mais sans parvenir à la sieste – en route, cette autre série

puis une discussion sur les images synthétiques  fixes ou animées et la « panique morale »qui s’est emparée de nos hiérarques

où, citronstabilobossé apparaît le magnifique « rien dans l’image ne fait référence à quoi que ce soit de réel ».

 

dans la boite Night Call (Dan Gilroy, 2014) abject (dix minutes grand maximum)

 

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