2586 Samedi 23 Novembre 2024
s’astreindre à écrire pour rien – ou pas grand chose – quelques mots (sept (non huit) : marché poisson oignons rouges bricks au thon pain) – lecture (Aldo, ne fais pas la mauvaise tête, reviens comme disait Prévert) (ce n’est pas que je n’aime pas la poésie mais il y a dans l’attitude prise par le parti quelque chose de tellement italien, cette affaire de non-désaccord avec la religion par exemple) (ce n’est pas mon monde mais que fais-je ici ?) le prunus
tout a fondu (le fondu enchaîné au cinéma propulsé et investi jusqu’à la (presque) nausée en 1927 par le Berlin symphonie d’une grande ville (Walter Ruttmann – dont on peut déceler l’idéologie fascisante (effet kouletchov (arrivées en gare des voyageurs de banlieue/cut/vaches conduites à l’abattoir/cut/défilé militaire puis mêmement à l’usine) comme godard montant cut une image de Golda Meir et de l’ordure) en visionnage pour le séminaire
du café
au ciné Le royaume (Julien Colonna, 2024) (premier film – scénario Jeanne Herry) rien de nouveau sous le soleil corse (ça ne s’arrêtera donc jamais) : vengeance, meurtres, sangs, hommes blancs et progéniture (une séance de superstition divinatoire : à ce propos, j’ai un peu pensé (de loin) à ce film Alma viva (Cristèle Alves Meira, 2022)
Il fait quand même trop froid au Carillon…
Prunus : celui de notre jardin d’immeuble, jamais soigné, est couvert maintenant pour partie par des champignons blancs… Les feuilles jaunes se raréfient. La RIVP s’en fiche.
Bonne journée !!! 🙂
@Dominique Hasselmann : au carillon le café est bon pourtant. Merci à toi
Berlin symphonie… l’avait oublié et il me ressaute en mémoire – une certaine brutalité et emphase dynamique forcée oui
@brigitte celerier : brutalité oui, certaine. Merci à vous