Vendredi 15 Novembre 2024 2578
un profond dégoût probablement – ça n’empêche pas la marche, le salut à la connaissance de comptoir
(y’avait longtemps) (récupéré je ne sais où la conférence de presse du militaire de carrière – culture historique mouvements des mains toute une affaire d’hexis (costume croisé mais trop grand il me semble) questions posées deux fois – rituels cadrés et propos à l’avenant) sur (en partie comme en aparté) « ce peuple d’élite sûr de lui et dominateur » (ce qui a plus d’un demi siècle – 27 novembre soixante-sept – les us ont perdu leur guerre en Asie du sud-est – et la France avant eux – mais non, on ne s’entend pas et on tue et encore et encore) des images pour oublier – laisser passer les nuages – en silence – se procurer le Prisonnière à Téhéran (Fariba Adelkhah, 2024 au seuil, 19,5e) (quand on n’a que l’amour dit-elle-ou chante-t-elle) (formidable et drôle – cette drôlerie de la distance dans ces conditions odieuses : chapeau à nouveau) – et puis et puis il y avait là un cabriolet 205 « de collection » à présent une mini du même métal
pas si mal (tape-cul certes) – passant devant le palace samaritain
(la nuit à mille huit : minimum, ça c’est le fucking Paris) (j’ai pensé aux Mercuriales dévolues à la clientèle des antipodes) cette image en vitrine (qui est-ce ? je ne sais – la vendeuse? la mère d’icelle ? sa sœur ? enfin : une image en vitrine)
allant au séminaire suivi (peu de temps) cette merveille graphique
(j’avais à lire cependant – la vallée de la peur de SACD enquête de SH et de son camarade élémentaire W (les stéréotypes magnifiés) – arrivant au passage
pas donné – officine de type brasserie (on ne boit que de l’eau, quoi qu’il en soit) – deux exposés (les notes un jour peut-être) – le disréalisme
dans les images recomposées synthétisées réorganisées réinterprétées reproduites et représentées par ce qu’on nomme improprement intelligence artificielle – puis la dissemblance ou la ressemblance à l’aide d’un retable
qu’on peut voir au musée du Louvre (un tiers du triptyque) – et surtout les pieds
qui ont été là
certainement sans doute probablement
on s’en va pensant
répétant
marchant tranquillement – j’évoque le calme, l’apaisement intérieur mais ça bout là-dedans – en arrivant
satellite presque plein
merci pour la richesse de ce billet qui m’a ouvert au jour et à la curiosité
Toutes ces voitures anciennes (on en voit de moins en moins) seront bientôt interdites de toute circulation. il est utile d’en conserver quelques photos, comme des souvenirs d’un monde ancien passé à la trappe. 🙂
(le remplissage automatique des cases d’identification du commentateur vient enfin de se remettre en place !)