Pendant le weekend

2509 Vendredi 6 Septembre 2024

 

 

 

il y a bien longtemps que cette plaque avait été volée – on en mit une autre qui tiendra ce qu’elle tiendra

je lisais ses chants puis la biographie à lui consacrée en avril 2020 – relisais d’ailleurs – jterapproche parce que je n’ai pas le point

je vois qu’elle a dû être reposée il y a un moment – c’est égal – j’ai marché longuement encore mais ça n’a rien changé (je cherche le fond sans le trouver) -lecture des lettres – l’après-midi au Temple d’Or attendu un moment apap et remarquant

une caryatide dans le hall du Gibus -un type s’est jeté dans l’image –

la vie des statues n’est pas facile – apap n’est pas venu j’ai bu une tasse de lait chaud –  j’ai marché encore longuement – cherchant encore le fond sans le trouver – noir c’est noir – de mal en pis – le soir vers six heures, après la pluie le ciel

il a été arrêté cependant que la fin d’Aldo devait se tenir pour la fin du mois d’octobre – une limite – douleurs hystériques profuses – sale temps

 

le soir au ciné À son image (Thierry de Peretti, 2024) la corsitude dans toute son horreur – et la place des femmes dans cette horreur (sur fond de paysage idyllique…) (quelques longueurs mais le Salut à toi  de Bérurier noir dans son entièreté (on salue) (sous un plan séquence un peu inutile d’ailleurs)

 

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6 Comments

    eu pulsion de réagir à chaque ligne ou presque, alors ne le fais à aucune
    juste au tout pour dire merci et bonne journée (envers et contre tout et contre tous les minables au pouvoir)

  • @brigitte celerier : à vous, merci de vos passages en tout cas

  • ah je me demandais si tu irais le voir, peur de la violence, finirais par le voir en DVD, je ne résiste à aucune production tournée en Corse (même des téléfilms de merde)

  • @caroline diaz : à peine violent – mais c’est à Ajaccio que se tient l’histoire… (et Peretti joue le prêtre) merci des commentaires, Caro

  • oui c’est sûr je vais être frustrée si je vois pas un bout de cap et de Bastia 😉

  • @caroline diaz : ça se peut, la lumière vient de l’autre côté – mais ça reste une île… merci Caro