Pendant le weekend

2468 Vendredi 26 Juillet 2024

 

 

 

 

la routine (une ambulance, on charge le bonhomme, on s’en va) – ici c’est le calme vert – il y a comme une terreur à parcourir les routes : les accidents, les flics, les pompiers, les phares qui trépignent bleu – on a viré les péages sur ces voies, on va de soi-même, compatissants peut-être, complaisants sûrement, nauséeux dégoûtés très vite écœurés mais ne consentant pas : obligatoire sinon, deux fois le pix, puis dix ou douze – cette saloperie de TINA est là, et on pense à cette pourriture de Maggie – pas tant qu’on aime les mineurs (on s’en fout de cette corporation mais on se souvient, quand même, du sort de l’épicier de Germinal), mais enfin cet épisode-là avait de l’horreur et du désespoir – les vacances n’existent que pour le travail – il y a à lire (on a découvert une lecture chez Persée  – par la grâce d’Emmanuelle Cordoliani, on lira le Noir sur noir journal 69/79 de Leonardo Sciascia dès que possible – ce n’est pas que les affaires avancent, mais le temps presse semble-t-il – puis quelques fleurs mauves

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2 Comments

    merci pour le lien
    (et puis le journal de Sciascia tentant sacrément tentant (bon ma lecture devient plus rare)

  • @brigitte celerier : merci à vous