2675 Mercredi 24 Avril 2024
(avant de partir, scanner thoracique – la barbe – ou plutôt le torse je suppose) (il me semble que Carette, sur son lampadaire, le chantait pour les gendarmes, moi ce serait pour les médecins – ou peut-être n’était-ce que Michel Simon dans ce Monsieur Taxi (1952) dont j’avais oublié le titre – une comédie bien de chez nous…) le sac les sandwichs sans doute – marche en avant quand même
(j’ai cru à une injonction : « Que l’œuf dure mayonnaise, huile de truffe ! » me criait en m’invectivant le tableau – mais en vrai non) – plus loin (ayant manqué le Chasse-Clou (tous mes vœux pour M.), j’ai erré dans le quartier – travaux partout tranquillité nulle part…)
vent froid (comme chez l’amie d’Avignon – gaffe quand même hein…) lu l’article de Guy Bennett (huitième) dans Diacritik – toujours aussi bien – cette glycine peut-être un peu abandonnée
mais je pars (destination Bahia, Buenos Aires ou Cuba chantait un Perrac) et puis ces quelques végétaux puisque le voyage est sous le signe du jardin
en face Taking sides : le cas Furtwängler (Istvan Szabo, 2001) Harvey Keitel parfait –
un petit peu d’avions en maison[s]témoin.
A bientôt (au 4 mai sans doute)
curieuse injonction, vais rêver à ce qu’elle pourrait signifier
et bon voyage (même si ce n’est vers Bahia)
« Partir »… (je n’aime pas ce terme utilisé par certains pour un décès), la Grèce comme horizon – voir le beau documentaire diffusé sur Xenakis, Arte – et déjà plein de souvenirs… Bon woyage ! 🙂
Heureuse de vous savoir en partance pour un pays que vous aimez, profitez bien !
@brigitte celerier : merci à vous !
@Dominique Hasselmann : Merci à toi, camarade blogueur
@L’employée aux écritures : Merci à vous Employée – à bientôt au Ronsard ou ailleurs