2568 Lundi 8 Janvier 2024 (slb #63)
rien, sinon – passage vers la rue du Roi de Sicile pour B2TS (informé par Caro – merci à toi) mais les images sont floues -pas de lumière tsais) -une tentative d’entrer au musée Galliera mais sans réservation c’est bernique (fuck off ce monde) et le froid de l’hiver – dans le poste Dancer in the dark (mais c’est un cinéma que je n’aime pas non plus que la personnalité du réalisateur – cependant la Deneuve n’y apparaît pas encore botoxée – cette terreur…)
et donc sur le bureau #63
des images retrouvées – pourraient s’intégrer au service de maison[s]témoin intitulé d’un voyage à l’autre (neuf occurrences) (le disputant aux dispersion (une vingtaine) – enfin des images qui restent
un 48 République (ici Roubaix, boulevard) (TEC) – suivre arracher à l’oubli –
mère fille (STGME2 et sa centenaire de mère) en Nouvelle Zélande, un club de polo – chapeaux ! –
l’habitation des agents immobiliers dont l’un possédait une ds palace – cette prétention intérieur cuir – un bout d’enfance – et puis un peu de littérature
pas lu le livre mais ça viendra – emprunt en bibliothèque sûrement – lire ou écrire, faut-il vraiment choisir ? ici en spéciale dédicace à Anne Savelli
c’est à Paris
en cherchant un hôtel modianesquement chevreusien – il n’y en a point (on attend la danseuse en poche t’inquiète) – et puis du cinéma : 1.un Derzou
(« regarde capitaine…! ») (Derzou Ouzala, Akira Kurosawa, 1975) – 2. une Lola
(Martine Carol ( aka Marie-Louise) dans le splendide Lola Montès (Max Ophüls, 1955) – 3. un jus de fruit
(oui enfin un verre de lait, sans doute – Malcolm McDowell A clockwork orange (Orange mécanique) Stanley K., 1971) – 4. ex-yougoslave
(une mère et son fils, lequel finit comme Virginia, des cailloux (ou des poings : Bellochio) dans les poches – ou dans le sac) (Lost Country Vladimir Perišić, 2023) – et puis un peu de banlieue (dédicace loupienne – c’est par là il me semble)
(je ne sais pas bien ce qu’a cette image mais elle me reste) – pour continuer par ce Navire Avenir qu’on soutient
et puis le voyage (Brésil)
des gens ici (oui, c’est Lula)
ou là
et, pour finir en souvenir d’hier, le reste d’une trace de Poiccard sur le trottoir du boulevard Raspail (merci, Employée)
« Bebel » allongé sur le bitume, normal… 😉
du lait sans aucun doute
le Lola Montès que je regrette de n’avoir jamais vu
j’aime Venise et n’ai jamais pris de gondole…
je n’ai plus moyen de soutenir le bateau (et plus trop la maison ici pour l’abri… un peu quand même)
etc…
merci pour ce voyage à la suite de votre esprit
brigitte celerier : pour Lola Montès vous pourriez l’emprunter en médiathèque bibliothèque – je suppose… pour les gondoles moi non plus (mais je n’aipassaisi l’llusion : au billet d’aujourd’hui,par prémonition ?:°)) Merci à vous en tous cas.
@Dominique Hasselmann : bah c’est Poiccard qui finit mal… Merci à toi