Sur le bureau #62
(trop à faire – deux dents en moins tout à l’heure (pourries, sans doute, mais quand même) – (il y avait cette chanson de Bashung qui faisait « »avance » me dit-elle » – assez ambivalente comme le chanteur que j’ai préféré dans le J’ai toujours rêvé d’être un gangster (Samuel Benchetrit, 2007) (la journée d’hier était chartraine – nouvelle librairie – pris acheté le Bombay de Marie Saglio – j’avais avec moi les autres
– je suis dépassé (les conditions physiques du rédacteur défaillent) (deux billets de retard – Et la vie continue
augmentée du magnifique Perfect days
(ici deux des actrices magiques – à droite, Aoi Yamada (extra) – à gauche Sayuri Ichakawa, chanteuse de son état, ici a capella je ne sais plus (la mémoire défaille aussi) – longuement marcher (la rue était encombrée on manifestait – le soulèvement se rapprocherait-il ? les guerres ? l’effondrement (tout ça est à pleurer de rire, parfois, avec ce pauvre garçon qui imagine quoi, avec son geste ?
peut-être simplement figurer dans ce journal – je me souviens de la nuit de cristal) – ces quelques images d’artistes pour figurer quelque chose comme de la joie ou de l’espoir pourtant
un type prend une photo sur une plage (c’est du côté de Tahiti) – un autre prend cette image dans un tunnel en Allemagne
ce sont deux images contributives (et informelles) au Dreamland Virtual Tour d’Olivier Hodasava – ici une approche un peu différente (QLPR2SA)* des transports parisiens
et puis une effigie d’Oum Kalthoum dont je n’ai guère apprécié les chansons mais elle, oui (elle figure au Panthéon, et illustre l’atelier qui, pour ma part, se trouve légèrement en panne – j’ai fait fausse route probablement comme souvent sinon toujours en écriture)
elle sourit, certes, avoir confiance : les choses avancent –
todoliste ((c)Kiki) : (pense-bête)
un texte pour les villes en voix my hot body into the town (c’est fait – ici l’image – je me souviens, Denis mon ami
les deux billets ville&cinéma (moins un : Marseille c’est fait)
augmenté d’un autre RFK pour la maison[s]témoin (ça c’est fait)
les deux participations d’atelier (ça c’est fait)
les carnets de voyage (fin Trieste (oui); Marseille (tec) – et de un))
l’enregistrement pour L’aiR Nu d’un extrait d’Ava Gardner tiré du … et toute ma sympathie (fait)
les index : (1) poème express – (2) étiquettes du carnet : ici en images le dossier « essai floral » – on ne voit rien, on dirait ce qu’ils (et elles, soyons clairs) appellent les slide des pauvres points qu’on nous infligeait du temps où le travail avait quelque chose à voir avec la réalité des choses) (fait)
tellement envie de tout balancer (je n’aurais pas le temps) – les éboueurs se mettent au travail – je vais faire du café
parle-t-on encore d’un politique qui ne soit d’extrême droite…
impressionnée par la todoliste (me donnerais envie de me recoucher)
La chanson dans « Perfect Days » (vu récemment, un bijou de faiënce) est « The House of the Rising Sun » (mais rien ne vaut l’original par « The Animals », qui me fut offerte en CD dans une station-service d’Écosse et écoutée en boucle pendant tout le trajet)…
Le connard avec son extincteur, il va bientôt falloir les interdire – les deux – dans les lieux publics.
À propos de « vignettes » : hier, au bureau de Poste (oh pardon, de la « Banque postale » !), je désirais un carnet de timbres, ça n’existe plus : il faut faire imprimer par la machine, une à une, les figurines souhaitées, et ça prend du temps !
C’est une concurrence au « livre à la demande » ? 😉
@brigitte celerier : voyez comme nous le faisons nous-mêmes… quelle plaie, quelle maladie… merci à vous (quand même) (non, se recoucher, non) (tout à l’heure, le sieston peut-être…)
@Dominique Hasselmann : (bravo pour la faïence…) merci pour « les portes du pénitencier » (ah Johnny) et pour le passage
je ne fais jamais de to do list, la tienne me rappelle les villes en voix, j’oublie à chaque fois et Françoise adorable me rattrape par le col… Pour le reste du courage et des bises
@caroline diaz : je crois que c’est pour le 20 de ce mois – je n’en fais jamais nonplus, je ne sais ce qui m’a pris tout à coup sans doute pour marquer une espèce de retour. Merci à toi. Du courage et des bises, Caro