Pendant le weekend

2453 Vendredi 15 Septembre 2023

 

 

 

entendu Amélie Nothomb dire « on ne peut pas toujours écrire des choses géniales » (après difficile d’entendre le passe-plat et sa connivence glaireuse) et oui, les émissions qui racontent Carmen Castillo (mais la passe-plat ne passe pas non plus, mais alors pas du tout…) (déjà que cette antenne est bourrée de rediffusions et d’informations radio-paris) (dégoût profond) mais j’essaye quand même – hier était un jour absolument sans (on s’en fout, c’est vrai) alors marcher et croiser ce spécimen (numéro d’ordre 423) qui m’a fait penser à ceux qui encadrent l’entrée de l’Arsenal de Venise

l’hôtel est toujours en travaux, toujours mais les prolos avaient l’air d’être des spécialistes – je me disais y retrouver la plaque (elle sera reposée ça ne fait pas de doute), sous le pont Royal coule toujours le fleuve ainsi que sous celui des Arts (foultitude de touristes ensmartphonisés comme des brutes) (dégoût devant la samar dégorgeant d’un luxe avarié), marcher encore arrêt subreptice

j’écoute Paolo Conte qui en fait des tonnes toujours, mais qui reste pourtant assez léger – sans doute son swing – les quinze sont pourtant jours fastes – le moral n’y était hier pas même si les messages sont rassérénants – Sébastopol encombré, Turbigo ennuyeux de centaines de vélos (la multiplication de ce mode locomoteur est effarante d’autant que les servant.es de ces machines de guerre notamment locatives ne s’en servent qu’avec un mépris complet et incommensurable de quelque code que ce soit), Temple et République tout autant fatigants l’une que l’autre – le faubourg, j’en parle même pas – vu B. (deux dents) et A. « au bout de sa vie » (sa pneumonie s’efface pourtant) ceci pour elles deux

le nombre de roses contre l’œil évidemment – c’est de replonger/tomber pour la 12 bis (d’assez mauvaise facture cependant) s’ébattre dans ces réminiscences superstitieuses qui heurtent  – le soir en voiture dans Paris jusqu’à la gare

ça a toujours quelque chose de merveilleux – mais les chemins sont impraticables, les routes encombrées de travaux et de cahots mécaniques réalisés en wtf « gendarmes allongés » ou « coussins berlinois » (la voiture ici, non, ce n’est plus possible)

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4 Comments

    curieusement après une matinée passée à me battre pour remplacer les logiciels perdus de mon Mac (en l’occurrence IMovie et les essais gratuits qui s’avèrent payants, les petites contributions évidentes mais pas si commodes à des dossiers de recours pour jeunes frappés d’OQTF), j’ai honteusement un semblant de plaisir de fraternité en vous lisant 🙂 et merci pour l’image des roses

  • Travaux des « réseaux » (hier un « conducteur » d’iceux disait : « Et je ne veux voir personne avec une cigarette ! », il s’agit de gaz, c’est bien de ne pas signaler plus visiblement ce danger !)…

    Se déplacer à Paris en voiture devient en effet un gymkana de haute – et lente – voltige : Hidalgo a sans doute dû logiquement licencier son chauffeur de voiture de fonction. 🙂

  • @brigitte celerier : tout le plaisir de vous les offrir est pour moi – merci à vous

  • @Dominique Hasselmann : sans doute ne se déplace-t-elle uniquement qu’en vélo de location -je suppose:°)(de fonction, certes) -merci à toi