2243 Mardi 14 Février 2023
vers sept et demi il commence à faire jour – il point – ça a bossé mais pas l’arabe (la 5 en la tournant comme il se doit, et un peu de Norma) (ça avait du vague à l’âme pas mal – cuisine courses marche) (comme de juste – froid le matin doux l’après-midi) heureuse présence des ami.es – le soir on est partis rive gauche
projection privée (comme disait l’autre – Michel Ciment qu’on n’entend plus guère – ça a été le prof d’anglais durant les études de cinéma du rédacteur) (comme un prof – je le croisai un jour de remise du prix de la Tour Montparnasse sortant de l’ascenseur, je l’ai abordé lui disant « j’étais votre élève à la Sorbonne » il m’a regardé comme si je sortais d’une boîte (ce que je faisais en l’occurrence) » ah bon ? » – il ne se souvenait pas – à quarante ans de distance, quelle honte)
au cinéma (7 Parnassiens, bah) Un homme debout (Florence Vignon, 2023) tout à fait recommandable (Zita Hanrot (attachante et sincère – trop belle) premier rôle et Jacques Gamblin (attaché vissé cloué au travail – assez parfait) adapté du Ils désertent de Thierry Beinstingel (ami de l’AiR Nu) (chez Fayard) – plus du point de vue féminin que dans le livre, musique parfaite (notamment le Gracias a la Vida (par Mercedes Sosa) qui est un des tubes d’ici (parce que Violetta Para et Victor Jara – mais pourquoi, Violetta, pourquoi ?) (je me renseigne et je fait un billet : finalement non, il ne se trouve pas de distributeur…)
retrouvé en rangeant ce spécimen capturé sur le lac de Zurich (#414)
sourire à la non-rencontre après 40 ans
sourire à l’activité et au film – vais essayer de faire le 5 mais suis un peu hors jeu là. ces jours ci (carcasse), vous êtes mon moteur
Michel Ciment, il m’a semblé encore l’entendre, il y a quelques semaines, au « Masque et la Plume » de France Inter… 🙂