2192 Lundi 26 Décembre 2022
pas mal marché quand même – ni chaud ni froid – E. au téléphone qui s’en va – lecture (retrouvé le Tokyo vice (Jake Adelstein, octobre 2017, points seuil) offert un jour probablement pas ouvert) – un dimanche en ville – aller au ciné
le flash oublié et voilà – il y aurait certainement des regards camera à la prise de vue suivante – mais elle n’a pas eu lieu (l’opérateur jurait assez grossièrement dans la rame) – plus tard lumière somptueuse
ces petits objets sont précis – le temps nous est compté (cette nuit en rêve, je perdais ma conduite intérieure – une alfa-roméo vert d’oie – où avait-elle été garée ? volée ? (la marque de l’auto et en un sens la couleur était la même que celle du père du héros d’un des héros du film à venir) je cherchai puis me retrouvai sur une terrasse de café de la rue Saint-Honoré vers celle du Louvre à parler avec une beauté du genre de Marie Laforêt – puis il fallait aller chercher quelque papier quelque part) – dix secondes plus tard
recadrée (style Blow-up (Michelangelo Antonioni, 1966 – retrouver Julio Cortazar)
plus près ?
on était à l’heure – puis retour à pied
au cinéma Les huit montagnes (Felix van Groeningen et Charlotte Vandermeersch (ils sont époux), 2022) (image (presque) carrée : quelle pitié…) (musique américaine: quelle erreur) le livre était magnifique (signé de Paolo Cognetti (prix strega – une liqueur italienne (de la même couleur que la voiture du père du héros) à base de fenouil comme ils (et elles je suppose) adorent – genre de goncourt) et le film l’est aussi (on ne comparera pas) (une histoire d’amitié et de montagnes et de famille – plutôt père/fils) (primé à Cannes, prix du jury (président Lindon Vinz) je crois bien)
il marche, il agit, il écrit et même si lui aussi fait des photos floues elles sont réussies !
@brigitte celerier : merci d’être là