2143 Mardi 8 Novembre 2022
zappé hier – drôle de sensation (effrayé, complètement) (les spectres hantent un peu, ces temps-ci, probablement à cause de l’évocation de et pour Maryse – ce sera le quinze, quatorze heures, entrée sous le pont bleu, mardi prochain donc) – le travail peut-être aussi, l’heure limite, la ligne de mort sans doute (mais c’est aujourd’hui, à onze heures) – une espèce d’absence incalculable non calculée un acte réussi comme le plan du transformateur oublié avant de partir – ou de revenir – ce genre de salade bousculée, parfois le truc turbule comme on sait – je suis sorti de maladie avec les antibio du dentiste – je ne suis pas allé jusqu’à marcher quand même, n’exagérons rien – des comptes des hypothèses des supputations des copiers/collés argumentés – un calendrier un budget
l’image est faite assis marche arrière côté de la gare (ce sont des paroles de chanson – l’auteur en est Jaboune alias Jean Nohain (le frère à Claude Dauphin qui dansait un petit peu dans ce film, à peine, une villa de la côte d’azur, j’ai oublié mais il portait une veste de smoking blanc (ou blanche c’est comme on choisit) – adaptées les paroles certes – quelques images de piscines, c’est vrai, oui, j’oublie mais j’espère qu’elle va mieux) (en fait oui) –
j’allais au Paris-Rome, je lisais aussi ce petit livre jaune consacré à un entretien avec Patricia Mazuy (offert par le ciné 104, sympathique comme tout, envie d’aller voir son Bowling quelque chose là)
travelling arrière donc – à l’aveugle – il y a quelque chose de pathétique à ces images – impressionnistes peut-être mais ces quais, ces voies, cette lumière issue de milliers de sources –
plus tard (ici c’est le coin de rue de Maubeuge – ça m’étonne mais c’est qu’elle tourne – en tout cas l’aîné des Legrand (« vrais »patronymes des deux Dauphin-Nohain) est apparu avec le siècle précédent dans le 9 (par là donc) – j’allais parler écriture et j’ai pris un kir, revenu doucement – l’image du lycée (qui y allait ? j’ai oublié – Modiano ? peut-être bien)
deux images au vol sans le savoir ni de lui ni de moi
la main droite
spécial
La photo 4, réussie sans le vouloir, l’art est sans doute dans cet instant ! 🙂
@Dominique Hasselmann : merci ! (je préfère les deux dernières) àtaleur
les deux dernières auraient pu être dans le #6 de l’atelier
la 4 est merveilleuse (je trouve)
ce n’est pas bien de ma part mais je trouve une impression de fraternité réconfortante dans le début (et là j’ai failli zapper, j’étais dans le prologue carnet de griffonneuse)
@brigitte celerier : merci pour la 4 (et oui pour la 6) – merci à vous (vu le carnet,oui:et merci aussi pour ça)