Dimanche 6 Novembre 2022 – 2141
(antibiotiques) (les dents : font braire – mercredi extractions, quelle épreuve) (ralcake) changer de lunettes (neuf cents euros…)
on dirait Artur London et l’Aveu (Costa-Gavras, 1970) (rien à déclarer cependant) pour mémoire
(il est mieux, je reconnais – son écharpe est moins jolie) (scénario Jorge Semprun et Lise (d’abord…) et Artur) (un peu long mais enfin, œuvre de salubrité politique quand même) – voilà qu’il est sept heures – fait nuit noire – « bonjour ma mie/bonjour l’automne vermeil » disait Trenet (c’est toujours un peu niais de poser des liens qui s’effacent dans le temps…) (tant pis) un peu de métro (mais lentement) au vert une fois
dans la rue une gonzesse (type robe imprimée imitant la panthère, quelque chose, bijoux, c’est rive gauche, soixante piges peut-être) me fait « lire dans la rue ça doit être passionnant » – Les pierres de Florence Mary McCarthy, payot (okaz 3 euros à l’Odyssée avenue Parmentier) : je lui montre « connais pas » fait-elle, je lui explique, elle sourit s’en va prendre son bus – courses etc. – métro au vert (deuxième)
non mais ça va. Bon dimanche
au cinéma La conspiration du Caire ((Walad Min Al Janna qui se traduit par « garçon né du ciel » plus ou moins) suédois/égyptien Tarik Saleh, 2022 – prix du scénario Cannes 2022 président Vincent Lindon) acteurs splendides (Fares Fares et Tawfeek Barhom) (une seule femme, cependant, plus ou moins violée…) scénario d’airain (l’autre côté du mur)
compassion… rien de pire que les dents
Ah oui, pas mal la nouvelle monture ! Pour un cinéphile, cela s’imposait !!!
Donc le Tarik Saleh, bien ? Il me semblait que tu avais pris avec des pincettes son film précédent, « Le Caire Confidentiel »… non ?
Bon dimanche pluvieux et parisien ! 🙂
@brigitte celerier : merci à vous…
@Dominique Hasselmann : non, j’avais bien aimé le précédent (jvais aller regarder ce que j’en avais élucubré: j’avais mis « honnête film noir ») (celui-là est plus dans le thème de la religion – on ne comprend pas très bien je crois qu’il fait des bases liturgiques plus affirmées – que les miennes en tout cas – mais le film est vraiment bien) (quelle saleté cette pluie… )