2098 Samedi 24 Septembre 2022
ces jours de septembre ont quelque chose de nostalgique (mais quoi ?) – Trenet chantait « j’suis un enfant/j’suis qu’un enfant tu sais » (et continuait « j’suis un p’tit français ») tandis que Nougaro s’interrogeait sur « le seul problème qu’on se pose/c’est d’séparer en deux portions/cinquante cinq kilos de chair rose/de cinquante cinq grammes de nylon » (et continuait « c’est pas toujours un jeu d’enfant /pour un don juju pour un don-on-on-on Juan ») – lectures (je me suis offert le Rotman&Hamon sur Montand c’est pour ça) (at momox pour sept euros – augmentés des Fiancés de Manzoni et de La douleur à Margot – 21 euros en tout quand même) – au marché des légumes (artichauts, choux chinois tomates ailoignons aubergine persil avocat plus raisin) – écritures
un tour au parc d’après midi qui m’a fait souvenir des habitués (peu de monde sinon devant le zénith à attendre pour les billets d’un groupe sûrement musique africano quelque chose – apparemment un Sidiki Diabaté) – marcher (avec toi c’est parfait) encore et encore – ciel gris blanc – chaud
six heures et demie du soir, quelle pitié – et le matin, on ne le voit pas avant sept heures vingt
dans la boite numérique Tom (Fabienne Berthaud, 2021) bon esprit (ici le dossier de presse si ça tente) (le premier rôle, Josse dit-on, diminutif de Jocelyne faut-il subodorer, assez un peu légèrement pas mal insupportable cependant) (en revanche la relation entre ce petit Tom et Madeleine (Claudine Acs, rôle et interprétation formidable) est adorable)
une belle journée en somme
@brigitte celerier : septembre, parfois… (tempétueux – mais sous un crâne…) (merci à vous)
Les carrés rouges de La Villette sont là exprès pour aider les photographes à cadrer, c’est la pédagogie sculpturale. 🙂
@Dominique Haselmann : c’est vrai que ça aidedans les moments de doute…(merci à toi)