2089 Jeudi 15 Septembre 2022
(toujours l’été) (on a été au Carillon boire un café avec le Chasse-Clou, sans image, non plus que lors de la mauresque avec Caroline D. au vert de Burnouf où on a parlé de son Comanche magnifique) (terrasses) alors des images de la nuit rurale
on a fait ce qu’on a pu en atelier – il y a trop de pain sur la planche – je continue pourtant à y croire
le sanaryote a tapé soixante huit – deux salons de coiffure portés à l’invent’hair – une jeune femme et de ses deux enfants,plus un troisième en route –
des rêves oubliés – en face Dédée d’Anvers (Yves Allégret, 1948) (la petite Catherine avait deux ans,ils étaient (Yves (pas Montand, Allégret hein) et Simone) mari et femme – avec l’autre Yves, le coup de foudre en août 49 à Saint-Paul-de-Vence comme tu sais) (le rôle de Simone Signoret : terrible (à sa mesure : elle envoie grââââve) – fascinée par la violence, en butte à celle de son souteneur assassiné pour l’exemple) (après le décor est raté mais on s’en fout un peu) (le truc a vieilli, comme il se doit sans doute – on trouverait un peu du Quai des brumes (Marcel Carné, 1938) dix ans avant : la guerre aura tout arrêté…) ici le contrechamp
Hommage à Irène Papas
aime vos rencontres aime tout et merci pour Irène Papas (en une version inhabituelle qui rend hommage à sa beauté)
Quand la ruralité
s’allie
à la réalité
la beauté s’élève
et ne nuit pas
@Dominique Hasselmann : trop d’honneur
merci
@brigitte celerier :on en reparle aujourd’hui (d’Irène) (merci à vous – et bon voyage par ici si j’ai bien compris…)
séance de rattrapage quand je devrais aussi m’y coller — au journal. Merci.
@Caroline D : merci à toi (pour la mauresque, déjà, et le Comanche…)