2062 Mardi 32 Janvier 2022

entamé ce feuilleton, je le continue – un seul organe – il est vrai que j’attends la chute du héros mais tant pis – rien n’est sûr, il s’est déclaré « désolé » l’une vers quinze heures (oh so sorry)

n’a-t-on pas l’idée subliminale (sinon sublime) d’u type (wtf) combattant ? Il marche le regard fier et souriant va au combat – quelques heures plus tard et le rapport « divulgué »

ça rigole moins hein – encore que subsiste quand même ce petit sourire (le fond n’est pas trop engageant et bidule regarde par terre – la vie est dure, et derrière des barreaux jt’en parle même pas) (en tout cas les Portugaises et leurs homologues masculins ont envoyé à la chambre une majorité absolue de gauche) (bizarre comme les gens parviennent à s’unir hein) (peu importe) une image d’Anna Magnani que Lulu deuch’nord m’a fait l’honneur de poser avec son Poème express (tirée de Mama Roma (Pier Paolo Pasolini,1962))

et puis cette petite fille qui sort du restaurant (ça se passe à Republic, Pennsylvanie) (suivant O.Hodasava)

est-ce que ça ne fait pas toute une histoire, ce « Family restaurant » ? Je me demande – ces jours-ci l’urticaire se fait trop géant – vu cette statue cette décoration ce bidule au coin de la rue Pasquier et du boulevard – quelque chose qui me fait penser à Nils Holgersson sur son oie

c’est au faîte du 88 – 12 k le mètre carré quand même (loué à une assurance j’ai l’impression) (ou une banque suisse) – palissade brute mais abritant les locaux plus ou moins algéco de la construction du métro dit éole, mettons-y un peu d’ordre voulez-vous, nous sommes dans le 8, limite 9 peut-être mais 8 quand même

quartier en travaux, fréquenté il y a quelques lustres par l’Employée aux écritures qui y œuvrait alors (j’avais souvenir d’un passage dans l’hôtel qui bouche la gare Saint-Lazare et dispose d’une passerelle pour y accéder) – nouvel épisode de son travail magnifique intitulé Habiter Paris que je suis, pas à pas

en face Trente-sept deux le matin (Jean-Jacques Beneix, 1986) pas une ride – probablement les héros trop à poil (bah)