1960 Vendredi 22 Octobre 2021
ce n’est pas vraiment le début (le premier se prend à la maison, jamais dehors malheureux !) mais presque
(superstition peut-être) me fait souvenir de ce jour de juillet où L. nous emmenait au bois (Boulogne, pas Vincennes hein) boire du cognac afin de ne pas laisse entrer quelque fluide funeste dans l’intérieur dans l’intime
– avec du sucre oui, toujours – après c’est un peu toujours pareil , il y a là cette statue (annexée par l’ordure au premier mai mais OSEF)
absolument – parce qu’elle est en face de l’hôtel, parce que non loin de là l’accident nocturne de Modiano (Patriiiiick)
(c’est devenu pratiquement une marque, mais on lira quand même – en poche probablement) parce que le souterrain
c’est parce que la sphinge quand son souffle me frôle
c’est parce qu’au matin, c’est parce que joue à joue – juste le temps d’une chanson il suffit de passer le pont (pas même un regard vers l’hôtel Voltaire)
(une nuit à l’hôtel samaritain, suite préfectorale ou princière ou royale ou suite à neu-neu mais à quatre mille quand même) (rive droite, certes) c’est tout de suite l’aventure
tu me dis viens je viens, tu souris je souris (deux armoires posées sur quai)
(c’est rive gauche, c’est vrai) plus tard dans la journée, vers une heure ou deux, il se mit à pleuvoir et je passai par là
c’est parce qu’ici ou là, dans un autre pays, pourvu que tu y sois, c’est aussi mon pays – la vitrine de l’art contemporain Frac le plateau : tout fait art (ceci n’est pas une poubelle de maxs, non)
retour travail ménages courses, le kit
ne sais pourquoi (la chanson ?) me met de bonne humeur – merci
Brassens centenaire : ça ne lui aurait pas été. Il s’est carapaté à temps.
Belle lumière sur la sphi(y)nge qui ne tire pas sur le directeur de la photo… 🙂