1827 Samedi 12 Juin 2021
trop merci pour tout ça (surex, c’est vrai)
et merci pour le café Employée (sans image, quelle pitié !) mais en arrivant au Rostand il y avait devant moi cette charmante
et puis le soir un couscous (comme là-bas : alors que zéro souvenir de ce plat là-bas justement) (cette impudeur peut-être…) (si bonne compagnie pourtant) – on va aller manif probablement (fait trop chaud non ?) (la mer qu’on aime (il y a pas mal de cette eau dans le prologue) est devenue un cimetière) aux ciels les avions ne sont pas revenus (aucun espoir d’un après différent d’un avant pourtant – les clairons de la « croissance » hurlent c’en est à pleurer) mais non, tête baissée dans le mur (les voitures (de vrais camions) électriques ne font plus de bruit) – s’abîmer dans l’écrit ? (ça bruisse, je fais visiter – je fatigue) c’était quoi, sur la terre comme au ciel ? je ne sais plus… (belleto je crois) quand même le soleil donne la même couleur aux gens disait l’îlien…
ce doit être un oiseau en haut à gauche qui s’est précipité dans le cadre – j’imagine
– bon week-end, surtout
suis partie un peu trop tôt, et oui il faisait chaud (surtout pour piétiner, pour les petits vieux il faudrait accélérer, à notre âge on manque d’équilibre 🙂 )
belle moisson, OUI, en entrée de billet (du moins je pense..)
Trouvé et acheté dans le café-librairie de Guimaëc, hier, un livre de Belinda Cannone, « Le Baiser peut-être » (10/18, 2014) – à laquelle j’avais parlé lors d’une réunion remue.net (il y a des siècles).