1823 Mardi 8 juin 2021
relu « Pereira prétend » (Antonio Tabucchi 10/18, terminé le 25 août 1993) sans vraie raison mais je le savais tragique – il n’y a guère de raison de relire quelque livre que ce soit, en clair il y a trop à lire – longtemps j’ai prétendu être doutor Pereira (on ne lui connait pas de prénom) – j’avais oublié l’épisode du train mais pas le bain du côté de Caiscas – madame Delgado et le professeur Cardoso qui s’en va à Saint-Malo – téléphones etc. – promenade : ici l’or (pratiquement excessif) de l’église (le « pratiquement » est directement issu de Nocturne indien (du même – même cote – 1984) chapitre 4 chiffre romain)
aujourd’hui on enterre A. (neuf trois au compteur quand même – la tristesse ne sied pas à la mort – je me souviens d’elle qui s’en allait parler aux vaches du pré jouxtant sa maison du croisement, de son regard perdu en ne reconnaissant pas sa filleule) quelques fleurs peut-être
– là le lion qui garde la république tourné vers le centre de Babylone (j’aime le pébrok vert) (fait parvenir une demande d’aide aux jumelles et bizarrement elle est restée sans réponse)
relu quelques uns des 807 de Maryse Hache (elle emploie ce mot vladje, jl’aidja dit je m’en fiche – pas de nouvelle par ailleurs – ainsi que Pereira, Vladje c’est moi) (cette nécessité de faire parler les noms – il me semble avoir vu passer « pseudo » au dictionnaire mais je ne fais pas assez attention à ce travail – ou simplement pour s’intituler autrement, auteur écrivain scripteur rédacteur claviste) – coup de téléphone de A. « ça y est, c’est gagné !!! » ah bravo bravo bravissimo – enfin là, ce type qui fume : le contrechamp, des graffeurs illustrent le mur qui fait la longueur de la droite de la rue (en montant) de la Fontaine-au-roi entre la rue Saint-Maur et Moret (une cinquantaine de mètres, je suppose – sans image, mais de lui, oui)
faut que je le relise Pereira revient (je veux relire tant de livres et j’en trouve pas le temps… internet en cause un peu, ma volonté aussi)
OUI pour le pépin vert
Belle dernière photo : au moins, dans ce genre de cantine, pas de « gestes barrières » à maintenir ! 🙂