1787 Lundi 3 Mai 2021
dans le poste « on est tellement heureux, on a le sourire jusque là puisqu’on va réouvrir » – quelque chose de complaisant (on s’habitue) (on n’oublie rien, de rien disait Brel) – une espèce de pourriture qui sourd de ces mots – tellement heureux – tellement dégoûtés : autorisations contraintes coups blessures – bien sûr, tout le monde vieillit et surtout les anciens – des perspectives mon amour ? – quelle affaire… muguets rougail saucisses pluie et lectures
mur décoré – chez R. le « Peppermint frappé » qui a tellement mal supporté ces cinquante dernières années (Carlos Saura, 1970) – surtout la musique – mais passons (dédié à Luis Bunuel, pourquoi pas ?) – on regardera « Cria Cuervos » (1976) peut-être moins daté (disons) – un homme dans la rue
rien sinon,des images d’avant hier – une Tiffany voulait louer mais s’est ravisée – je fatigue, j’entends des voix (j’acouphène je suppose – c’est égal rien ne vient, ça ira mieux, tu crois? je ne sais pas je n’attends pas) – cette image en l’honneur de Rastafari (je me souviens de la petite taille du Négus de Rastaman vibrations et de l’empereur Haïlé Sélassié Un)
pour le curry de légumes (garam masala en vrai) –
dvd : Le temps qu’il reste (Elia Souleiman, 2009)
le papier peint lui n’est pas mal (à condition de ne pas le garder trop longtemps) – hésité devant « Cria Cuervos » et puis finalement ce fut une crétinerie pleine de sang
La grève des loyers et des huissiers : ils veulent « reconvertir » Le Maire et Darmanin en chômeurs (oh ! pardon : en « demandeurs d’emploi »), comme les employés au nettoyage des murs – trop bavards – de la « Propreté de Paris » ? 🙂
@brigitte celerier : on est démuni face à cette saloperie de lucarne
@Dominique Hasselmann : passé hier, ils ont déjà repeint (rue Rebéval)