1710 Mardi 16 Février 2021
on commence à affûter les argumentaires – combien de mois de couvre-feu inutile ? combien de vies, combien de maladies mentales, combien de gâchis mais de crédits d’impôts aux entreprises ? le monde ici ne bouge pas – on prépare les jeux au Japon tandis qu’un sale type démissionne – on prépare aussi bien ici ceux qu’on aurait bonne intelligence de supprimer (mais non, on fonce on construit des gares du grand Paris, on exproprie le bâtiment va couler mais tant qu’il va…) – s’il fait assez clément, si la voiture tient si le cœur nous en dit – une telle fatigue de cette façon d’être au monde – marcher encore – il refait doux – trouvé cette image d’un petit métier d’homme sandwich à la sauce contemporaine
expédié aux divers composants du CLAN le lien vers la numérisation du film – recherche d’images pour ne pas oublier – commenté au SILO me remémorant la relation Cocteau/Radiguet et voilà que la radio en cause – retrouvée cette page d’un causette 2013 saint valentin (via AG)
en pensant à Angèle – furieusement moderne – lire, préparer pastal’tono tenter de se reposer – mais non – une image de l’ami muraliste (Jean-Marc Paumier) qui date d’une dizaine d’années si j’ai suivi –
Ava – la comtesse – légèrement azimuté monomanie/ciné (dans le poste un film pourri (John Sturges pourtant, son dernier) (1976) machiste, militariste, tellement daté et tellement con : on ferme le poste normalement – c’est que (Sir) Michael Caine quand même (mais il a joué dans un nombre assez incalculable de films idiots) (c’est surtout à cause de Sleuth (Jo Mankiewicz, 1972) (aka le limier) qu’on l’aime bien (j’avais une image de lui avec sa mère que j’aimais bien) – bientôt 88 printemps, le bougre) (il y a aussi Robert Duvall en borgne) (mais tellement niais le film) tant pis, après tout on s’en fout, Paris la Seine, la semaine dernière ou celle d’avant je ne sais plus (bord cadre, en bas, neige gelée)
augmentée de ceci pour donner du courage
merci pour le ceci final, merci pour Ava la comtesse sur ce mur et merci pour tout
Ave Ava… The Constant Gardner ! 🙂