1552 Lundi 7 Septembre 2020 (petit carnet de voyage(s)(# 118))
Rubrique(s) : Carnets de Pierre Cohen-Hadria / Carnets de voyage(s) / journal quotidien
7 septembre, 2020 5
back from the pink city (trop belle) (petit carnet de voyage) (la plupart du temps maxé comme des malades) (ce que la presque totalité des testés n’est pas – mais passons, laissons ça et parlons d’autre chose) (canal de Brienne
)(on part de Montpar
on est immédiatement plongé dans la puanteur marketing genre ce vendeur de meuble de merde labyrinthique (longue traversée d’un « hall » merdique pour en retraverser un autre dans l’autre sens – tout aussi merdik tout aussi longuement – pour se retrouver sur le même quai (fuck off) – puis (une honte) un train à grande vitesse, deux étages, pas de place pour les pieds, ni pour les bagages ni pour un bar (soyons justes il y a quand même des chiottes – l’esprit market-merdik des « low coasts » à vomir) – une seule envie, s’en sortir – on s’en sort en se disant « plus jamais » comme des avions à dominante orange, cette pourriture – comme les autres compagnies d’ailleurs) merveille dans les roses donc – deux petits jours, Garonne canaux « l’église Saint Sernin illumine le soir » – sur la place du Capitole on fêterait le cassoulet le lendemain, je crois bien
enfin une belle sortie (un beau cadeau – encore merci pour tout)
(les producteurs français des années passées) – retour par le train (passage à Brive pour ce spécimen (#365)
) café TEC parce que les rituels nous aident à juguler la détestation qu’on a de ce monde idiot
(déjà bu) – trois salons et croiser Jacques Canetti et ce bon Georges
et monsieur Cent Mille Volts
et puis revoir Paris
son pont d’Austerlitz et son ciel embrasé
et pas une mention de Nougaro ?… 🙂
@Dominique Hasselmann : mais si !!! Un vers entier de sa chanson, allons…! :°)) (https://www.youtube.com/watch?v=M7q3XtmF-tQ)
une ville aimée (avec une jolie cinémathèque si elle existe toujours… à vrai dire souvent flou sauf que le local était beau)
@brigetoun : la cinémathèque est toujours là (on se souvient de Raymond Borde, passant devant – je crois bien que le président aujourd’hui en est Robert Guédiguian)), et ouverte (bientôt on y donnera « La nuit du chasseur » (Charles Laughton, 1955)
Cela m’avait échappé… (je ne les connais pas par cœur, sauf peut-être « Paris Mai »…
Mais je connais Toulouse (je ne souviens de son Palais de justice, entre autres…).