1528 Samedi 15 Août 2020
Rubrique(s) : Carlos Guyancourt / Carnets de Pierre Cohen-Hadria / journal quotidien
15 août, 2020 0
(c’est à Sainte-Anne-d’Auray qu’on doit défiler maxé.es géléifié.es certes, mais tout de même – un grand pardon, en somme) (restons œcuménique)
Je me demande où il peut bien être ce brave Guyancourt
probablement curiosité malsaine – irruption dans l’intimité de l’homme qui n’est plus guère public (image datant du moment où il indiquait à la justice française qu’elle n’aurait pas l’honneur de l’entendre) – les affaires étant ce qu’elles sont, elles continuent pour lui et ses femme, enfants, sœurs etc.
Puisqu’on ne cesse de parler cinéma (surtout de ses salles – effet secondaire de l’atelier) je pose ici une image de mademoiselle Alice (pionnière du cinéma, Alice Guy, magique) trouvée dans le magnifique essai « Pour une contre-histoire du cinéma » (Francis Lacassin, Institut Lumière/actes sud 1994 – déjà paru en première édition 1972 chez Christian Bourgois 10/18 – celle-ci a été augmentée)
souvenirs début quatre-vingts où le Lacassin en question enseignait la bande-dessinée (sous-chapitre de l’image fixe) à l’université Panthéon-Sorbonne.
image posée en commentaire chez Helena Barroso (l’entrée de la cinémathèque de Lisbonne portée à bout de bras par João Bénard da Costa (1935-2009 – directeur de la cinémathèque pendant 18 ans)
Au cinéma (on était 4 dans la salle…) Félicita (Bruno Merle, 2020) pourquoi pas – mythomanies et bruitages insignes (mais non – probablement à cause des tatouages et des barbalakon, qui ne sont, cependant, que des marqueurs contemporains) (mais non)