lundi 8 juillet 1125
quelques jours à la campagne
le temps aussi de faire réparer la voiture (600 euros quand même – la courroie de distribution, y’en aura deux ; les plaquettes de freins (là y’en a quatre, c’est un minimum syndical)) (le genre d’ordonnance qui fait mal – même en quatre fois sans frais comme dit l’autre) – le retour tranquillement le matin – reprendre le travail (j’ai commencé le découpage de l’entretien JD)
deux annonces me plaisent : on verra ce qu’on en fera mais comme on sait, plus rien n’est comme avant (les temps changent, disait le prix Nobel) (j’écoute assez binge non stop à mon rythme le feuilleton des Stones – vingt ans en arrière, pratiquement, où je nettoyais la golf rouge dans le jardin)
Quand je pense à la Grèce, ça me fait mal au coeur… sont-ce vraiment les gouvernements qu’on mérite ?
au cinéma So long, my son (Wang Xiaoshuai, 2019) chronique à paraître dans la maison(du cinéma)(s)témoin – on pense à Marnie, un petit peu pour le scénario (Sir Alfred, 1964) : on se souvient de Sean Connery en assez contre-emploi : on le voit aussi dans la bio de Michael Caine que j’ai empruntée à la médiathèque) – un petit peu à Douglas Sirk (plutôt Mirage de la Vie (1959) que Écrit sur du vent (1956) pour le genre (assez mélodrame, fresque quelque chose) malgré les 185 minutes, temps de vivre et de mourir (happy end bienvenue) à voir si on aime les romans familiaux (et un cinéma de montage au couteau et au cordeau : magnifique) (ou la production chinoise (celles des maîtres du monde) qui supplante celle des étazuniens – mais pas encore de fiche wiki, comme quoi) (cependant titre en anglais comme il se doit- on pense à ce « Welcome my son, welcome to the machine » des Pink Floyd – et donc un salut à Benoît Vincent le génois)
admiration
Le temps des cerises (chercher un film en rapport : Kiarostami !)… ça donne envie de croquer ! 🙂