26 mars 1121
aucune idée de comment les choses avancent depuis tout ce temps – le travail a quelque chose de tellement abscons parfois – mais peu importe, continuons – on n’a pas le temps de faire autre chose, il refait froid, on court, on marche on avance – dîner chez barak avec D. et A. où on a parlé que de leurs progénitures – ce n’est pas qu’on s’en fiche, remarque bien – pas de ciné de la lecture (l’histoire populaire de la France de Noiriel la découverte pas encore actée d’un blog chez Agone, le cul de Judas d’ALA) – il y a aussi la nouvelle à écrire plus le Portugal à affermir – notamment avec les 3 F que j’ai oubliés (je mets un « s » au participe passé, foutebal, famille Fatima – la lecture des romans a quelque chose de la réalité, et c’est surtout la réalité du fantasme qu’elle parvient à rendre réel) – on va aller travailler, ça nous occupera.
vivement les vacances ? sans doute – une pensée encore pour les mensonges éhontés des autorités (je ne parle même pas de l’édile de Nice dont on connaît le goût pour ce type de discours) quant à la charge des policiers, en meute, ce samedi matin, dans les rues de la ville, c’est à ne pas croire – je me souviens de Romain D. durant les manifestations contre la loi travail.
En maison[s]témoin, un passage par la musique et l’image (floue, désolé)
oui, des vacances, bonne idée ! 🙂
la nouvelle je crois que j’y renonce définitivement (et affirmant cela vais sans doute m’y relancer), d’autres préoccupations en tête
quant au reste.. ah si faites orojets vacances et réalisez les (et nous nous en profiterons avec poésie de surcroit)… moi je reste dans les brumes pour cet été, festival cuit par faute de jambes je pense, et ne veux pas des invitations – on verra