8 mars 1102
il y a eu ce petit bout de film posté par Anne Savelli – Delphine Seyrig, tellement – et puis le passage dans le bus quatre six (elle mange un yaourth, il tient la poignée de son caddy, lui le siège devant lui, elle admire la boutique du coiffeur)
ma grand-mère parlait du trois-septième pour descendre en ville, à A. -cheveux mauves et sourire – il y avait aussi cette enseigne (à l’Invent’hair)
passer en banque, chercher des livres (Un peuple en révolution, Raquel Varela -Agone) (un cadeau « Il faut s’adapter » Sur un nouvel impératif politique, Barbara Stiegler – Gaga), marcher un peu, rejoindre un ami de 50 ans, déjeuner rires se moquer des merco et du reste du monde – dans le froid le vent – on peut encore en rire – il y a eu aussi cette sortie du RER place Marguerite de Navarre (Paris ) belle comme un camion
un peu surexposée – c’est mieux, ça cache un peu l’hôtel de luxe, pathétique et complaisant, une horreur – ça c’est Paris (finir l’édifiant – c’est le cas de le dire – « La comédie des Halles » (Françoise Fromonot) La Fabrique)
Rentrer à pied. Continuer à portugaliser. Ménage, courses, séminaire – mais non, pas ce jour. Dans la boutique, consulter la carte
je la laisse dans le mauvais sens mais elle est en long (la vendeuse et sa fille, Clara Polaire, qui chante – « ce que je suis fière » dit-elle – ainsi qu’E. elle vit à Liège, j’aime ces hasards – oui, la pluie qui giboule, la place de la Bourse, le vent, le temps qui s’efface – avancer et continuer son avancée – il ne fait pas si moche)
« Mare nostrum » : à l’époque, pas besoin de boîtes de pub pour inventer des noms géniaux… 🙂
@Dominique Hasselmann : :-))