Pendant le weekend

Sur le bureau # 38

Sur le bureau est une série photographique créée à partir de clichés que je classe dans un fichier nommé « photos améliorées », sous -fichier du dossier intitulé « Images », lequel comprend aujourd’hui 680 documents (comme on dit). Par un choix aléatoire, je prends une photo  (because il ne m’en faut qu’une vingtaine : c’est ainsi que c’est décidé aujourd’hui). Je les pose ici dans l’ordre d’apparition. Les photos viennent comme elles viennent : elles sont classées par ordre alphabétique (je regarde le « Sur le bureau » sans numéro – qui date de 2012, le premier du genre – on y trouverait la bande son du livre de KMS donnée chez Pierre Ménard : tant mieux).

Ici l’une des merveilles recenséesdans cette rubrique.

Interlude photographique donc (un aphte douloureux plus une phalange arthrosée plus un genou plus ou moins fou) les mouettes qui crient, le ciel noir encore (plus que vingt jours, le jour remontera) rassure-moi, rien de plus, rien qu’un dimanche et des espoirs – rien ne sera obtenu par le dialogue, les bottes vont aux pieds des militaires – peu importe, ici l’homme du cinéma

là Edith et son Marcel

puis Maria et son Orphée

le pont Lafayette

un mixte comme il faut au stade de Melbourne

cette annonce d’une exposition manquée

une image de Cléo

une vue imprenable du cimetière (où repose Marguerite, je crois)

puis une autre de celui d’Olonne-sur-Mer (en spéciale dédicace à Jean-Christophe Bailly, même si le sien, d’Olonne, est probablement plus onirique)

pour continuer par une image à Mar del Plata (c’est en Argentine, lors d’un festival : trois inusables du cinéma français – Léos Carax plus Jean-Pierre Léaud plus PIerre Richard)

et enfin cette image de Joe Gillis (interprété par William Holden) qui nous parle depuis qui peut savoir où dans « Sunset Boulevard » de l’histoire de la vie romancée de Gloria Swanson

vive le cinéma.

Tristesse de ce mois de novembre enfui :

la fermeture du garage qui se présentait ainsi

mais c’en est fini…

Encore un peu de cinéma quand même, pour un hommage à Jacques Demy

et sa magnifique Lola

au cinéma Kursk (Thomas Winterberg, 2018) film sous-marinier produit par son grand bleu de Luc Besson (bof bif)

Et ces quelques roses dues à BC (encore merci)

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2 Comments

    MERCI

  • Patchwork agréable – disons, en français, « méli-mélo », sachant que dans ce dernier Demy-mot il y a toute une part du cinéma…

    Léos Carax n’a pas tourné depuis un bout de temps, il me semble… dommage ! 🙂