16 novembre 992
(on continue le feuilleton du badge : il n’ouvrira qu’une seule porte) (comme si c’était possible) ce week-end, ça manifeste mais est-ce vraiment le diesel qu’on abomine ? je me demande, peu importe ? (j’irai au travail) ici Jean Marais , ce roi incestueux (on disait Panne d’eau pour travestir un peu ce conte de fées un peu neuneu) et son lion bleu (#332)
chronique de maison(s)témoin, il en faut, travailler son cinéma, sa mémoire, ses amours (je préfère cet acteur dans la Belle et la Bête (Jean Cocteau, 1946) image Henri Alekan – ou mieux encore (parce que Maria Casarès
et François Périer et ce vent – qu’est-ce donc ?- dans ses cheveux)
dans Orphée (Jean Cocteau, 1950) ah ce cinéma-là…
J’ai croisé cet homme et sa guitare
il portait à chacun de ses annulaires une chevalière (on ne l’aperçoit pas, mais il porte aussi des rouflaquettes : le type sur la route) et cette femme (on ne le voit pas non plus, mais c’est une chinoise qui mange un grec)
elle en offre quelques miettes aux volatiles qui égayent sa solitude, j’imagine…
ah oui ce cinéma ! tiens devrais ressortir le DVD