11 septembre 925
(45 ans qu’Allende était assassiné, dix sept que les avions s’écrasaient sur les tours jumelles dites centre du commerce mondial) (saleté de date anniversaire) en passant par le parc, quelques petits métiers exercés ici ou là – à chacun des pas, on en croiserait un le matin, je suppose (gymnastique chinoise ou autres, course à pied, marche promenade du chien) (l’heure où le journal rejoint l’atelier) : éradicateur de mauvaises herbes interpavés
servant de chariot élévateur (conducteur de balancelle ou quelque chose)
nettoyeur (au clopo) des pans et coins de murs
autres perspectives : humain endormi dans un escalier
humains à la recherche d’ectoplasmes virtuels
(j’en finis de la 42, pour entamer la 43 et ça se dégage pour la 44 et la 45). Un café avec madame Savelli pour des perspectives splendides d’air nu.
au journal se terminant : rien.
moi suis en mode découragée pour le 44 un peu par ce qu’ai écrit avant, un gros peu pour la masse de textes publiés ce matin (et par certains très longs, qui semblent plébiscités et dont l’écriture me repousse)
découragée par tout en fait, moi et le monde…. laisser passer temps
Dormir dans un escalier : un rêve de Zeppelin… 🙂