15 juin 837
partir récupérer la caisse (elle tourne comme une horloge, sans bruit – pour la finance on repassera, tant pis) par le Montparnasse-monde (prévoir une bonne dizaine de minutes pour rejoindre l’annexe Vaugirard hein)
peut-être seulement 6 si les trottoirs mécaniques fonctionnent – dans le train, croiser cet arbre (un marronnier du blog de l’Employée aux écritures, comme on sait)
toujours enserré entre béton et bitume ((c) Maxime le Forestier, comme un arbre dans la ville) (dans la ville, continuer l’atelier mais là : pause – on y voit avec plaisir l’arrivée du Chasse-Clou, tranquillement le cheminement avec paumée et tentatives et liminaire, de fragments et peut-être l’arrivée de fenêtres sans compter les autres (amis belges ou cousins canadiens etc. – quelle pléiade…!) aller bosser parce que ça n’attend pas, au sortir cette merveille
et aussi un passage devant cette image collée de B2TS je suppose sur le mur de la gare du Château-Landon
pause donc jusque probablement mercredi ou jeudi.
pour l’atelier je sais par le Chasse clou qu’il s’installe dedans, pas eu le temps de le lire, verrai cet après-midi, et pour vous j’en étais restée au 5…
eu plus de mal encore que de coutume avec les 6 et 7 et ça sent le laborieux (enfin je trouve)
mais la lecture devient presque tâche à temps plein 🙂
je n’ose penser au trou-festival
Vous me direz si le dernier segment de la série de trottoirs roulants est toujours aussi joyeusement rebondissant parce que je n’ai plus trop l’occasion de passer par là (ce qui me fait apprécier grandement les nouvelles illustrées que vous donnez de l’arbre)
Bel arbre « en résilience » (comme le dit la mode), la végétalisation (comme le veut la mode) peut donc être aussi involontaire !
🙂