29 avril 790
deux images de Lisbonne retrouvées lors des copies effectuées sur le nouveau disque dur, de la fenêtre
elles sont toutes petites, la technique du téléphone, je ne sais plus maintenant – ces images ont plus de dix ans – et Caiscas (un peu à l’ouest de la plage où Pereira allait se baigner avant son entrée dans sa clinique pour perdre du poids – à ce qu’on prétend, évidemment –
(il se peut que ce soit lui, en jaune, une espèce de réincarnation je suppose). Hier soir au ciné, on a croisé des amis (JlM et son ami) qui nous a appris que la politique d’immigration (ça veut dire quoi, la « politique d’immigration » ? l’accueil des malheureux, la guerre, la famine et la mort) du Portugal avait quelque chose d’humain (et chez nous, hein, on pose des frontières en plastique : la police veille à ce que ça se passe bien – immonde).
Avant le ciné cette vue de la rue de Chartres qui va à celle de la Goutte d’Or
et puis en ressortant, la gare
au ciné, Transit (Christian Petzold, 2018) à voir sans hésiter (allégorie peut-être du monde contemporain, je me souviens de René Allio , son « Retour à Marseille » (1980) magnifique (Raf Vallone…), et de son adaptation du même roman d’Anna Seghers (1991))
essaierai de suivre le conseil
Transit, nous irons, Mes provinciales nous en sommes revenus hier déçus.
@brigetoun : allégorique, sensible, couleurs chaudes et Marseille… ça devrait vous plaire
@L’employée aux écritures : merci pour l’avis sur « Mes provinciales » (on ira ptêt quand même – les films de cinéma sur le cinéma ne parviennent jamais au bas du talon de 8 et 1/2, étudiants ou pas, j’imagine) (on m’a aussi dit « trop long » – je me méfie, cependant, comme lorsqu’on disait à Mozart « trop de notes »)
Un des problèmes de Mes provinciales est que le film ne nous a pas paru « habité » de l’amour du cinéma.