Pendant le weekend

14 avril 775

 

il faut comprendre qu’on ne peut pas rester inactif devant les méfaits du roi, et que nos opinions ne le comprendraient pas (et puis il faut aussi penser à utiliser les rafales quand même, sinon où irait l’argent des impôts ? sans en user, ils s’abîment quand même alors…) et donc, ainsi (l’ex du kgb vlad a laissé faire : laisser dire…). De la même manière, on peut penser qu’une grève du paiement desdits impôts aurait une influence sur la paye et les émoluments de ces dizaines de ministres, députés sénateurs de tout poil (on peut penser) (compagnies républicaines de sécurité et gardes mobiles tu comprends aussi, les primes de déplacement vers Nantes ou tout ça, ça coûte) (ça tombe tous les 23 ou tous les 25, quoi qu’il puisse arriver : la banque est bien faite)

Sa bobonne a tapé soixante cinq hier (elle est de la même année que François Bon, si tu veux tout savoir) mais on n’a guère communiqué dessus : bizarre, où donc ont-ils été fêter cette date anniversaire d’une retraite bien méritée ? au Fouquet’s, sans doute – ahahah non, à la Boule Rouge comme le précédent…? – (on ne communique pas suffisamment) (on nous cache tout mais j’ai tout de même vu une photo de son époux (en deuxième noce, que va dire sa sainteté et son lien abîmé ?) assis sur un pouf (sic) dans une école maternelle, le cireur de pompes souriait devant lui : si le ridicule tuait, tu sais…)

(série en cours) (failli aller au ciné voir le Kore-Eda qui vient de sortir alors que son prochain est sélectionné – officiel – pour le festival de Cannes – soixante et onze : présidente Cate Blanchett – on ira ptêt ce soir)

 

11. Antoine , 14 avril 2008, 14:32

J’ai appelé Antoine, un taxi de Saint Domingue qui nous a emmenés à Roissy pour partir à Venise, Rome, ou ailleurs, pour partir, un noir avec des cheveux blancs que j’aime autant que Maria aux Folies, pour qu’il emmène ma mère à Neuilly pour se soigner, il est arrivé à l’heure, il reviendra tous ces jours-ci, il parlera avec elle, avec ma soeur, il conduira, Antoine

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1 Comment

    heureusement il y a les Antoine