14 mars 744
partir dans l’est – il semble qu’une faille tectonique soit proche du lieu – on s’en fout, on n’a pas peur – on a pixellisé les abords, impossible de voir quelque chose de haut – quelques images prises par des semblables locaux on imagine, Fessenheim (fermeture promise il y a quelques années par on ne nomme même pas le traître, on a réussi aujourd’hui à subordonner cette fermeture -une autre traîtrise, évidemment – à l’ouverture de l’EPR (ce sont les lettres initiales de réacteur à eau pressurisée – REP donc en français, tellement proche de RIP, n’est-ce pas, parlons anglais) de Flamanville dont le couvercle ne sera probablement pas étanche – on s’en fout, on n’a pas peur – en Finlande, on attend que ça marche (mise en service prévue en 2009; devis de base 3 milliards d’euros – coût aujourd’hui : plus de 9 milliards; raccordement au réseau prévu en mai 2019), mais ça va venir, t’inquiète – on le changera en 2022, certainement, pas d’inquiétude, dormons en paix – la première de loin, le truc repose non loin du Rhin – (c) Jürgen Gyro
au fond la ligne bleue des Vosges – au premier plan, le canal – à l’arrière plan, derrière les deux réacteurs, le parking puis le village de Fessenheim – vue du canal (c) Axel Mayer –
et l’entrée captée par le robot
il existe par ailleurs,un peu plus en aval, une centrale hydraulique appartenant aussi à l’opérateur.
Viendra ensuite Golfech, entre Agen et Montauban, sur la Garonne, ici de haut (un nuage « naturel » qui projette son ombre sur la cheminée de refroidissement – une seule tranche semble en action
(on distingue un artefact sur le fleuve – on peut considérer que ce ne sont pas rejets de la centrale – on aime imaginer tsais comment on est)
mais il ne faisait pas si beau lors du passage du robot (une seule cheminée fonctionne aussi en rez-de-chaussée –
on a disposé une oeuvre d’art sur un rond-point auquel le robot n’accède pas, mais c’est pour faire beau
enfin on fait ce qu’on peut… On en manque de rien, merci, ça bosse…
y’en a point au journal…
descendre jusqu’à la nôtre qu’a plein de petits ennuis (pas graves msieurs dames pas graves)
Nicolas Hulot ne veut pas « brutaliser EDF » (« Le Figaro » du vendredi 8 mars), c’est sans doute pour cette raison qu’il n’a pas accompagné son chef en Inde, où le marché des EPR semble aller bon train.
L’ancien écolo de TF1 aurai pu pourtant se baigner dans le Gange et nous envoyer une vidéo sous-marine avec force « plop » et « blurp » ponctuant son exploration d’un futur fleuve de « refroidissement » (climatique ?)… 🙂
@brigetoun : ça va venir… :°) (merci de suivre)
@Dominique Hasselmann : il s’agissait d’une visite privée, tu sais bien…