Sept cent quatre Premier février dix huit
on devrait offrir le bouquet promis sur la place de Tokyo à mon chou (aka moitié galeux) pour ses loyaux efforts (notamment pendant la plus longue grève de la radio – depuis qu’elle est radio – régimaire(c)) envers son mentor (il a quand même aidé à l’élection) et tout ça pour se faire lâcher comme un malpropre… Pfff… Non, la voiture avec chauffeur et les notes de frais, terminées… Souhaitons lui de trouver, ainsi que l’adjoint à la culture de cette municipalité inqualifiable (le plan « on change de presta-vélo » est magnifiquement calculé), une placette chez ce glorieux exportateur du luxe bien français (voyageur-représentant-placier d’un joaillier ? quelque chose dans le champagne ? ah la vie…)
c’est par là-bas, oui.
au cinéma le dernier bavardage de Woody Allen (« La roue de la fortune » je crois bien) (Storaro ne se sent plus – c’est le directeur photo – : faut quand même pas abuser des rouges…) désincarné, amer et à la limite du cynisme… (production amazon dis-moi) : à éviter (« Wonder wheel » 2017)
le vent tourbillonnant qui rabat les volets
les étoiles au ciel avaient un doux froufrou
et puis voici mon coeur qui ne bat que pour vous
La galéjade s’est terminée plus tôt que prévu.
Ce panneau fléché devrait figurer dans tous les bureaux de nos grands dirigeants, les rappelant ainsi à l’ordre de ce qui leur pend au-dessus de la tête un jour ou l’autre…
(Le Woody Allen : pas vu, j’ai l’impression qu’il se répète depuis un certain temps.)
Woody c’est triste nous vieillissons si je comprends bien
les jeunes gens en costard outrecuidant me fatiguent, je les gomme… bon quand sont présidents de quelque chose ou de la république c’est pas facile