Douze dix-sept – 624
(temps de chiottes) (aller bosser quand même, j’y vais) croisé ce photogramme/filmogramme/vidéogramme (le Samouraï, de dos, va chiper la DS qu’on vient de garer devant lui) (on discerne au loin un garage de la Shell)
je me demandais dans quelle rue (sans doute Washington Berry ou Boétie Ponthieu ou de ce côté-ci des Champs Elysées, j’imagine), je ne sais plus exactement, j’ai du tomber sur un site en anglais qui raconte plus ou moins cette affaire-là, où le héros – c’est le même et lorsqu’il joue au billard (mais peut-être est-ce dans « Un flic » – particulièrement indigeste) la plongée sur le trois bandes – cas d’école – et qu’on l’interrompt, j’ai cru reconnaître ce café billard qui n’existe plus dans le rue Blomet (je ne me souviens plus, nous y tournions « Faux contact », je ne sais plus) puis croisé cette apparition de JPM dans le métro
manteau de laine, sans lunettes, probablement à New-York ou Londres – qui m’a fait me souvenir du différend qui l’avait opposé à Charles Vanel sur le tournage de « L’aîné des Ferchaux » raconté dans le livre d’entretiens avec Rui Nogueira (différend dont on sait déduire la haine que ce metteur en scène vouait, un peu comme Sir Alfred, aux acteurs) (une haine ou une jalousie, va savoir) (bracelet-montre, là) (le type gauche cadre, olympien)
en dvd « Ressources humaines » (Laurent Cantet, 1999) (la même année sortait « Matrix »; tout cela, ce n’est que du cinéma).
Bon dimanche.
Melville sans ses lunettes noires, est-ce encore Melville ?
En tout cas, avec tous les gens assis les uns en face des autres, on est bien sûrs qu’il ne s’agit pas du métro parisien….
J’aimerais bien lire le denier livre sur Melville, celui d’Antoine de Baecque…
il reste la bouche