Quatre trois trois cent soixante neuf
Il pleut, les cendres reposent au jardin, elles s’en iront en terre et le tour sera joué – puisque l’homme avait tant voulu y revenir, l’y voilà posé.
Il pleut, va falloir aller finir cette saisie, l’envie m’en tord les entrailles. J’ai trouvé cet immeuble en marchant par les rues (coin Croix des Petits Champs et Vrillères)
(j’aime encore assez le balcon ouvragé, là-haut) (en se penchant droite cadre la statue de Louis quatorze – il me semble – sur son cheval qui salue la banque de France)
J’asq 10. dans les tiroirs des commodes de la chambre de Maria Stella Salina, Luchino Visconti avait fait placer des tissus de soie, et d’autres choses encore – ça n’apparaissait pas à l’écran – pour que tienne la vérité (interprétée magnifiquement par Rina Morelli). De la même manière (?), J’asq 11. pour constituer le brouillard dans son décor imitant le port de Livourne des Notti biance à Cinecitta, il avait fait revêtir les façades de longs voiles de tulle blanc
image du pont du métro, entre celui d’Austerlitz et celui Charles de Gaulle, reliant le 12 au 13, jeudi après midi allant voir l’expo du neuveu (j’en ai qu’un) vers le boulevard Blanqui.
au cinéma « Certaines femmes » (« Certain Women« , Kelly Reichardt aussi scénariste, 2016) (on avait vu de la même un magnifique « La dernière piste« , 2010 (en anglais « Meek’s Cutoff », du nom de la piste emprunté par les trois familles) (et aussi « Night moves » moins apprécié mais écolo en diable -2013) où elle signait, comme ici d’ailleurs, le montage) rythme, paysage (un personnage à part entière), histoires scénario : j’adore (sauf que zéro musique, j’aime pas trop) : à voir.
Pas encore vu « Certain Women » mais j’ai gardé un souvenir extra de « Night moves »…
Oui, belle pluie aujourd’hui pour la fiesta (ça va être sa fête !) de Fillon au Troc. Les éléments sont… déchaînés contre lui !