Vingt-neuf cent quatre-vingt-trois
B comme Bakou (chez moi, ça reste le port pétrolier sur la mer Caspienne de l’URSS : j’au du mal avec la fin de cette union – Mstislav Rostropovitch et son cello – c’est toujours chez les Soviets mais ça reste dans le Caucase
de ce fait le drapeau d’Azerbaïdjian (où on perçoit à peine le croissant et l’étoile), les mômes à vélo et les arbres taillés au couteau/cordeau
ou alors la nuit, le parapluie reflets sur l’eau dans la baie (il faut aussi sacrifier aux stéréotypes) (la vie est plus supportable un peu de vent, bientôt la pluie) (on attend pour septembre des nouvelles qui vont probablement faire braire, et d’autres qui vont aussi faire plaisir, quand même…) (demain dernière du rétro -alphabet, partie de plaisir mais finie avant la fin de l’été) (ils sont tous revenus : pathétiques l’étalage des bronzages des types bermuda des gonzesses petites robes, tout ça en tongues qui parle fort dans la rue « tout le monde était à Biarritz cette année » des rires idiots, des regards entendus sur la qualité de la teinte beigeasse de la peau) (de plus avant hier « Moka » au cinéma -7 euros quand même de foutus en l’air : scénario grossier, lâche et inutile, juste Nathalie Baye qui cherche à se sauver, qui y parvient sans doute – c’est le métier – mais elle est bien seule…) (en revanche le lendemain « Stefan Zweig, Adieu l’Europe » mise en scène de vrai cinéma, mais déprimant cependant – y aller, ne pas hésiter)
parce qu’on aime se déprimer avec Zweig
« Moka », c’est pourtant un joli titre… (pas vu ce film, le Zweig, oui).
Les photos Google : toujours cette approximation (qui ne rend pas plus proche ce que la vue mécanique montre)…