Huit Un Seize
(trop de trucs à faire : la compta débarque premier exercice, plus de pièces comptables, rechercher envie de mourir mais aller, continuer et chercher reconstituer) (finir la saisie) (rechercher les erreurs) (aller voir ce qui se passe à l’appart, trouver chercher finir pleurer-ça n’arrange rien ça calme seulement) faire tourner l’auto après avoir récupéré de pauvres outils enduits de suie (le rdv expert reporté d’une semaine) et puis j’attendai A. pour déjeuner et qui voilà qui vient
tout à fait ça (on les a déjà vus, ces deux-là) : le regard caméra (le père la fille ? L’oncle la nièce ? le mari la femme ?)
ils passent, vont au marché
c’est quand même un peu à l’aveugle tout ça mais enfin, le faubourg du Temple (ensuite on est redescendus vers la place de la Répu – paraît que Johnny dimanche etc etc…mais enfin bon, je passe) puis je m’en suis allé mon chemin
la ville, le métro, les gens et les amis (et demain, qu’on se le dise aussi, dans le cadre de la résidence artistique et numérique du collectif L’aiR Nu, vernissage en la belle bibliothèque municipale de Montigny-sur-Loing, de l’exposition d’oeuvres de Mathilde Roux, c’est à dix huit heures : bienvenue à toutes et tous…) (l’exposition jusqu’au 30 janvier 2016)
Paris est un village (enfin, certains arrondissements)… on espère simplement ne pas y retrouver des fous d’Allah ou de je ne sais qui, Le Carillon est en train de refaire sa façade, on pourra peut-être y remettre les pieds si on ose…