2694 Vendredi 14 Mars 2025
on a quand même eu droit à quelques giboulées – on remet son collant hein – on part d’ailleurs quelques jours dans une région si reculée (techniquement, peut-être, mais dans les mœurs, indéniablement) que le journal se taira – pour le moment, il montre une photo de famille
père ou mère ? bien malin qui le dira (oncle ? tante ?) – plus loin un palmipède en mosaïques qui me fit souvenir du petit pays que j’aime beaucoup – quoi que question mœurs aussi, celui-là – passons
puis celle-ci encapuchée qui consulte son portable en attendant
on marche un peu et sur le quai, de loin
il semble bien que l’officine soit ouverte
et en effet – pas encore de tarif (la disposition n’a pas changé, on rentre un comptoir, derrière un loufiat – j’ai pris l’image mais elle est vraiment trop manquée
on s’en fout) plus loin, le bar (posée celle-là)
(on distingue la bouteille de campari (en haut à gauche – en dessous aperol faute de goût) (en tout cas spritz – je ne l’aime plus – dry) – je ne veux pas jouer à ce jeu idiot mais cependant durant les quarante et quelques années que j’ai connu cet établissement, le bar n’a jamais marché – on s’en fout aussi, c’est vrai) une espèce de palace – quatre ou cinq étoiles grand luxe (encore que le fait qu’on puisse voir l’intérieur donne une idée plus populaire, il va falloir préserver tout ça – la plaque n’y est pas non plus : ça viendra) – et puis sur le pont, je l’ai vu arriver de loin
à Venise la course à 200 – il passe
tout ce luxe – Paris Babylone – marcher encore – longuement – remonter le Sébasto – lectures et écritures puis séminaire photo de famille
au mail celle-ci (merci) qui figurera au travail (probable)
(à droite,mon grand-oncle E. qui porte sa première fille J., à gauche son frère V. qui porte mon oncle C. fâché – devant eux à gauche, mon oncle R. et yeux fermés mon père) un cliché (qui le prit ?) qui doit dater de la fin des années 20) (boutons de manchette et pantalon clair (c’est l’été) de mon grand-père…)
à probablement mardi