2642 Mardi 21 Janvier 2025
il boufone était aussi ridicule et dangereux il y a un siècle en Italie que celui d’aujourd’hui aux US – vu une image où wtf bernararno se sert de son nino comme (moi ou) le derniers des prolos pour immortaliser ce moment pathétique – que de sales types… préférons la troublante existence du quotidien – ici l’exemplaire belfortissime bien connu (taxé au Chasse-Clou) – repro-graphitée en gare
et dans le même ordre d’idée, disons, l’officine de l’avenue Jean-Jaurès (qu’on ne numérote point mais faisant partie aussi d’une des topiques, d’un motif auxquels (ou auquel ?) ici on s’attache)
(image gouglée, certes, probablement réalisée lors de jours plus aimables – le froid, en cette veille de jour anniversaire, était tellement insupportable qu’on ne sortît qu’à la nuit) (restituer le toupin de fonte et une bonne part de la préparation assez réussie) (dîner avec la progéniture) à propos d’images gouglées, j’allai là
là-bas c’est l’été (en ce large passent quelques navigateurs solitaires) les eaux, lors des marées, s’y ouvrent comme aux pas de l’autre,là, et ses tables menant son peuple « sûr de lui et dominateur »ou quelque chose
on prend le bateau, on emmène les enfants et un picnic
un peu comme dans le Pour que tu ne perdes pas dans le quartier où le narrateur/héros jeune, dans la décapotable américaine du premier mari de A. glisse doucement dans la rue de l’Ermitage croisant au passage une grande et belle femme emmitouflée de couleurs vives, allant se promener en forêt – qui me fait aussi souvenir des campari de la Margot et ses petits chevaux – ici une vue de Tarquinia, qui n’est pas si différente de celle du Brésil –
ah voilà le café