Sur les pas (2555 Mercredi 23 Octobre 2024)

on en apprend tous les jours (j’aurais dit quelques dizaines) : l’archipel japonais (qui est un état) compte plus de quatorze mille îles – comment veux-tu que je m’y retrouve ? – avec celles décrites par l’ami Laurent Peyronnet, on voit que ce monde est plein de ressources – je préfère en passer par là, les images et exactions (meurtres en tous genres, guerres du même tonneau, tortures et autres joyeusetés d’actualités tendent à me faire douter) – et donc, voyant ce billet (aux images magnifiques) publié en heure creuse, j’ai décidé de me rendre en images sur une de ces composantes – Naoshima qui se trouve à peu près sous ce pointeau rouge

l’autre bout du monde, sans doute mer intérieure – j’en reviens avec quelques images de mes contemporains

ces rues presque vides, ces objets, ces constructions – le lieu dont parle il me semble le billet – dans le noir, à main droite –

cherché les petites plantes sans les trouver – ici cependant

travaillant au jardin

mais surtout puisqu’en île

images dronatiques

comme on n’en voit jamais (disons)

pêche poisson autres

attention travaux

attends j’appelle maman

on se réunit pour un pique-nique

au loin foncent les ondes

et puis, splendeur

là-bas brille la paix ? le soleil levant ? couchant ? quelle importance – on s’en va

back in babylone

hier au ciné Espace Saint-Michel (l’une des meilleures programmations de Paris) (la place est à 8 pour les vieux étudiants chômeurs (sans différenciation de genre), 10 pour les autres) Barbès Little Italie ((François) Hassan Guerrar, 2024) ma-gni-fi-que (premier film) (à ne manquer sous aucun prétexte – billet en Villes&Cinéma bientôt) (Sofiane Zermani premier rôle Malek, magnifique tout autant – la princesse de Venise dans un petit rôle (mais je l’aime bien aussi) (Clotilde Courau, qui doit être binationale si je ne m’abuse) dédié aux binationaux (extra, j’adore) (une réplique ? Malek : « je suis franco algérien… » celle à qui il le dit: « Franco ? le franco d’Espagne ? »)(jte préviens qu’on pleure à la fin)