Pendant le weekend

2554 Mardi 22 Octobre 2024

 

 

 

je lisais quelque entrefilet (en vrai un article entier) sur les fréquentations odieuses du secrétaire à la recherche universitaire (fasciste comme il se doit dans ce gouvernement qui en a la couleur) mentionnant les actes violents de milices d’extrême droite aux portes de celles-ci – je lisais – L’art de perdre (Alice Zeniter, flamarion/albin michel 2017) une histoire de l’Algérie contemporaine crois-je (page 62 comme les accords d’Evian – sans doute plutôt versant harki) promenade au parc – sans image grisaillante mais pelouse toujours aussi artificielle (écœurante) – cadavres de vélibs toujours à ciel ouvert – sans autre forme de procès -Aldo attend un peu, à peine quelques jours, je médite avant de m’auto-éditer (ce que je ne ferais pas) (en revanche, pour un mot que ne suis-je prêt à écrire) dehors un peu de soleil

le livre de la voisine avec quelques résonances, les sept femmes de l’aventurier (un peu comme barbe bleue henry quelque chose (trois ou sept ?) (8) sinon que celui-là se prénomme Peter ou Per – j’ai vu que Christine Boisson à gauche avait passé son arme – elle avait quelque chose (comme on dit) (quand même elle aurait joué les allumeuses dans sa jeunesse – qui était aussi la mienne imagine-toi – elle était de 56) (je ne mets pas d’image, je commence à m’auto-censurer sur ce point – peut-être crainte ou ambiance délétère comme en début de ce billet) je me souviens d’elle dans le film d’Antonioni (Identification d’une femme (1982)) – deuxième image solaire

je me souviens d’un « la prochaine fois on ne vous loupera pas »(et les remugles paranoïaques de refouler la surface du fantasme) (souci aussi pour l’amie arsaise) ambiance morne – Z. qui vient dîner dormir bosser à la maison (tant mieux) – et puis octobre et sa revanche (On ne sait jamais en boucle – Aznav l’Arménie la Géorgie la Moldavie…) (je prépare un »sur les pas » des amis de Varlin ainsi qu’un billet économique pour la maison[s]témoin)

 

 

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2 Comments

    me perds dans le texte comme souvent, le hume, admire constance, même si Aldo attend un peu
    et remercie pour les images lumineuses

  • @brigitte celerier : merci à vous