2537 Vendredi 4 Octobre 2024
soupirail déjà croisé mais dans les teintes foncées – possiblement la même (grosse) maison (genre hôtel particulier pour riche potentat tycoon ou trafiquant) coin Université/Sébastien Bottin (enfin non Montalembert) – par là en tout cas – l’usurpation du nom de la rue par la firme qui tient le trottoir d’en face m’est insupportable : l’adresse ne convient d’ailleurs qu’à elle)
rue de Beaune puis avancée des travaux
près de cinq ans il me semble – il y a de l’amortissement à prévoir – quelques points de couleurs – le pont
c’est débraillé et empli de tourisme
c’était le champ – ici contrechamp en pano
à la lumière changeante
la passerelle la prison le pont neuf et l’île
l’hôtel de la mairesse (est-ce bien ainsi qu’on intitule l’édile ? ) (le vocabulaire lui-même et la syntaxe (priorité à droite – le masculin l’emporte) attermoient et wokisent) (dégoût complet de ces affaires-là notamment la nomination à la recherche d’un imprécateur)
un peu de tour Saint-Jacques – j’ai des choses à faire (lire par exemple ces minutes – tenter de prendre en compte les articles les informations les détails donnés pour les jours d’Avril 78, comme la pluie – tenter encore de travailler et aller voir le médecin : toute la panoplie, le corono-scanner à 140 euros l’iode qui passe dans les capillaires des doigts – la marche, la venue de Bruxelles, et peut-être bien le cinéma)
dvd Le revenant (première partie librement constituée) (Alejandro Gonzalez Inarritu, 2015) western à la sauce grand angle sadique et sanglante (3 oscars cependant – quand même)
les minutes : importants, devrais les lire, pas certaine de le faire (et trouver excuse de : je m’en doute ce qui est mauvaise excuse une fois encore)
@brigitte celerier : assez ardues quand meme… Merci à vous Brigitte (et pour le commentaire lecture d’atelier)