2556 Jeudi 24 Octobre 2024
il y a une chanson d’Aznavour (il y a un film aussi, mais je ne crois pas y aller) qui fait « l’amour fait de nous ce qu’il veut » comme s’il s’agissait d’un démiurge, d’une obédience particulière (elle tourne ces temps-ci en boucle) – un peu comme le supérieur hiérarchique ou le maître et l’esclave – l’ordre et la discipline militaire – sans que nous n’ayons rien à dire ou penser (sinon « tant pis ») – drôle de petit bonhomme (il semble que l’interprète soit à la hauteur) (hum) (les stéréotypes me guettent évidemment : le battage m’en fait parler, les réalisateurs me sont inconnus (GCM – rien que la revendication du nom de scène m’indispose – le fait que ce soit un slameur (il ne chante pas, non) ne joue pas en sa faveur (en quoi, le stéréotype de l’étiquette agit aussi sur moi) (l’autre je ne sais pas je ne suis pas allé voir – sûrement son binôme image) enfin tout ça pour dire que ce petit bonhomme achetait les pulls ou autre par trois ou quatre et offrait les surnuméraires à ses amis – drôle de mec (vu d’ici il m’est assez antipathique mais après qu’en sais-je ? j’ai lu deux ou trois biographies voilà tout) (il paraît qu’il filmait toujours tout et tout le temps) – cinéma
osef « éperdument »(c’est aussi dans la chanson – je dispose de quatre ou cinq versions) – marche en avant toujours mais d’écriture bernique (je me suis mis à la 8 sans vraiment comprendre de quoi il retourne et la prenant pour Aldo) – macache bono – au parc on court
on est observé
on peut pêcher le canard (petit métier 1)
quelque chose du désespoir comme habituellement (dans le Nos mères on parle, en dernier chapitre des hommes et l’interdiction qui leur est faite de pleurer – de même que pour les femmes,l’injonction à sourire -pas trop non plus faut pas abuser… je marche et pleure) – petits métiers (2)
puis un autre (3)
j’avais l’intention d’envoyer celle-ci
et puis ça ne s’est pas fait – quand même il ferait froid le matin le soir, il fait beau – je n’y parviendrai jamais – ici la protection divine
une fois puis deux (c’est quand même le minimum)
la dix-huitième chronique de l’ami des Anges (j’adore)
en face Le chien des Baskerville (Terence Fisher, 1958) (habitué de la Hammer, certes mais enfin…) le moins qu’on puisse en dire c’est qu’il a mal vieilli) (le cinéma n’avait que 63 ans – il en a pris depuis 66…) (le studio… bah…) (relu le livre il y a peu : pas si mal…)
vague envie (que ne réaliserai pas) de m’arracher à mes manies/intérêts actuels (qui tendent à combler le trou Rosmerta suis plus destinataire des mails ai rejoint l’empyrée des vieilles bienveillantes, me restent quelques rencontres mais vais peut être devenir aide à la commission Facebook et autres) pour lire les 8 et voir comment chacun s’en est tiré de ce truc… (j’ai triché et honte me suis amusée donc trop. long) et puis je suis allée savourer la concision pleine de sens dudit Ugo)
merci pour le lien – ai goûté entre autres cette phrase « J’imagine que de nombreux morts préféreraient ne pas revenir à la vie…. Cette pensée me touche. »
et fin de la pause je vous salue et sors l’aspirateur
@brigitte celerier : je vous salue, de même. Merci à vous (je vais aller lire les 8, probablement – pendant ce temps-là je ne ferai pas autre chose…)