Pendant le weekend

2519 Oublier Paris #114

 

 

hier se tenait dans ses locaux l’assemblée générale ordinaire de l’association radio numérique L’aiR Nu – on y réélit (à l’unanimité) le bureau (le président, la trésorière) puis on s’égaya dans le quartier – les prochaines Bulles d’AiR littéraires radio-enregistrées et déambulatoires sont au programme – on marcha dans le 16 – la rue du Docteur Blanche (où l’une des membres historiques passa quelques années de pensionnat) dans laquelle donne

– au fond de l’image le pensionnat où Gilda Fiermonte (donc, pour (ne pas) la nommer) faisait ses classes (eh oui) – l’improprement nommée rue Mallet Stevens

(du nom de l’architecte – ici signature ROB.))

qui est une impasse (la voie, non l’architecte) – puis on marcha repérant ici une jolie porte (au vrai, un portillon) en forme de soupirail

(d’autres soupiraux garniront un autre billet pour favoriser et abonder la collection entreprise par l’Employée aux écritures) mais en voici un tout de même

très chic – il se situe juste avant ce

qui est donc un 62 de la rue : un magnifique hôtel particulier anciennement annexe du pensionnat de madame Fiermonte (car le monde est petit – surtout celui-là : je veux dire celui du 16) abandonné semble-t-il – et pourtant nous indique le robot, en avril 2008 (voilà seize ans, certes)

s’y trouvaient encore des habitants – une énigme, sans doute à base financière et municipale à résoudre probablement – nous verrons, nous marchions ainsi que d’autres

les beaux quartiers comme on dit – coiffeurs?

oui, certes (au 117 de l’avenue) ou encore

assez médiocre – l’apostrophe en forme d’accroche-cœur peut-être – le pluriel peu couru – on portera à l’invent’hair – quelques fleurs avant de se quitter

puis j’ai remonté l’avenue, pris la rue à droite dite de Passy

il y en a donc partout – continuant on trouve un vestige non loin (une topique)

puis sans doute assez fatalement un bouillon

ce genre d’officine est à la mode – je rapproche le lectorat pour la topique d’ici

quand même (j’indique qu’en même enseigne mais à Pigalle le dit œuf-mayo se négocie à deux euros – la clientèle diffère, c’est vrai aussi – je porte à l’attention aussi que sur l’avenue, une brasserie offrira (c’est un bien grand mot mais certainement pas le dimanche) la même entrée à sept euros cinquante) un autre monde, un autre univers et j’atteins alors l’esplanade où on mariait à tour (!) de bras

oui, que ce monde est bizarre…

 

je signale la parution du numéro de la revue les Villes en voix animée par Françoise Breton et Valérie (qu’on remercie ici)

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4 Comments

    belle journée d’amitié et littérature (et beaux soupiraux)

  • Et la tour Eiffel avec ses anneaux toujours accrochés, sur décision de la maire va-comme-je-te-pousse, comme des breloques publicitaires (il est vrai que c’est devenu le mantra même du Premier ministre nouvellement nommé, il n’a plus qu’à sauter en l’air et en cadence comme son maître élyséen !). °°°°°

  • @brigitte celerier :c’est vrai il faisait beau. Merci à vous

  • @Dominique Hasselmann : un premier ministre ? où ça ? ah lui… Merci à toi (je crois que la mairie a prévu de changer ces breloques, pour d’autres moins lourdes)