2505 Lundi 2 Septembre 2024
pas envie non plus – le bruit toujours ambiant, pour rentrer il eut fallu sortir – ces choses-là qui ont le pouvoir de nous ramener à des positions faites d’ordre, de discipline, d’obéissance – pas de vagues… dégoût profond – un peu surexposée
dommage – la route – la ville – un commentaire adorable (A2P – ce n’est que du travail) – la lecture des lettres (ça ne fait rien, un passe-temps de vieillard sûrement) – cette nuit le rêve montre le voisin du dessous (Y.) debout qui marche dans sa cuisine – puis l’insomnie qui permet de finir le livre Les Sources et la partition en trois chapitres (vraiment bien – légèrement – doucement : terriblement… on aimerait en savoir plus) – les herbes
le matin
le côté systématique est ennuyeux (déjà donné dans le style mais juste pour les couleurs sûrement) – à la table relire corriger amender
au ciné Septembre sans attendre (Jonas Trueba, 2024) jouer avec le cinéma : très réussi – les faux raccords, les vrais, les sentiments fous forts grands – assez réussi (beaucoup aimé le père de la réalisatrice – elle c’est Ale, lui son compagnon c’est Alex ou le contraire) (on pense à Nanni Moretti ce qui n’est déjà pas si mal) (on avait beaucoup (mais beaucoup) aimé Qui à part nous (2021) formidable – du même réalisateur espagnol (et le précédent, Eva en août (2020) – l’espoir est vivant, oui) (on va en faire un billet Madrid pour L’aiR Nu ville&ciné tiens)
pas envie…
mais sommes ainsi faits qu’il y a toujours quelque chose pour nous ramener à la surface, un film pas mal ou autre chose
bonne journée à vous
@brigitte celerier : parfois, plus que moins… merci à vous