2475 Vendredi 2 Août 2024
en passant – avec qui que ce soit, parler des trente troisièmes du nom (nouvelle manière due à la montée des fascismes en effet – des patriotismes – fin dix neuvième – non mais non) (l’histoire comme un passe-temps de vieillard, même si ces choses sont d’abord dans la tête ou l’esprit de ceux qui les profèrent) (ainsi que la barbarie qui se tient du côté de celui (ou celle) qui l’énonce – ou la dénonce) calmement la 37 – oublier surtout oublier
on ne s’en fout pas – ça se dispute un peu sur le genre des athlètes et les taux de testostérone (tu vois bien, même sans le vouloir et en s’en défendant) – je me souviens de ZZ (c’est un autre compartiment, mais dans la même voiture) qui flanqua un coup de tête à son homologue adverse (il était italien, comme ici – l’Italie, ce pays de choix ou choisi je ne sais plus – parfois je ne comprends pas exactement ce que me dit le clavier – laisse)
hier c’était marché (le monde dehors, le soleil, les bavardages) (insupportable) (plus le temps passe, plus je gagne en misanthropie) (je pense voyant ces gens que plus de la moitié votait il n’y a pas un mois pour l’ordure : comment en rendre compte ?) laisse : je pense à Terracina (bord de mer) où AM possédait (ai-je cru lire quelque part) une petite maison; je pense à l’endroit où on a mis ses restes en terre – la plus stricte intimité (de nouvelles pistes s’échafaudent – ce n’est pas le travail qui manque – la pièce principale à refaire – le jardin la déchetterie les courses – les vacances (et ta grand-mère qui en disait que « c’est juste changer d’évier »))
faisait beau hier – chaud – on aurait aimé l’orage mais non – avant-hier non plus – la météo, les jeux, les passions joyeuses –
point de vue, panorama – il est tard, il est bien tard –
volatile du matin (si on me l’ordonnait je dirais grive ou merlette ? que sais-je…)
dvd Le brio (Yvan Attal, 2017) (bah) (non mais Camélia (serait mieux Camilia non ?) Jordana – une des égéries d’ici – avec AOC certes – des brunes sans doute – qui envoie grâââââve du pâté)
Le cochon de Gaza (Sylvain Estibal, 2011) (bof) (non mais Baya Belal qui a travaillé dans la boite – ou qui était la mère d’une amie de mes filles – ou qu’on croisait à Belleville qu’on aimait bien en tout cas)
depuis mon refus de tout, un petit coucou admiratif
@brigitte celerier : repos d’août prescrit pour vous. Merci de votre passage.