Pendant le weekend

2455 Samedi 13 Juillet 2024

 

 

le jour se lève à six heures moins le quart, ça me troue (comme on disait) – on ira danser – feu d’artifice garanti – célébrer la fête nationale (cet adjectif au goût parfaitement douteux) (fêter quoi, au juste ? une lettre au peuple écrite (est-ce bien sûr ?) par un sous-monarque en plein déni ? Euh…) hier travail à la table (notes de bas de page) sans image (la sortie au marché sans nino – relecture du livre d’entretiens de Moretti, le livre sur la CIA est gluant de langue de bois – et je suis fatigué de cette époque comme de la présente – au mur en sortant le collage qui perd de sa superbe (s’il en avait jamais eu)

bah (casse-gueule un peu)

bof – je pose taleur

voilà

tout passe, tout lasse…

la vérité avant dernière je suppose – la jeune voisine adorable et québécoise sort un livre qui va faire un tabac – et le temps qui passe (E. est repartie sans doute arrivée)

avant – dernière

en fait dernière

 

 

pour ville & cinéma un billet au sujet du Six pieds sur terre de l’algéro-brésilien (à moins qu’il ne soit brésilo-algérien) Karim Bensalah qui raconte l’histoire d’un croque-mort (rituels de thanatopracteurs) (faisait vaguement penser au premier des films d’Arnaud Desplechins – La sentinelle (1992))

 

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2 Comments

    tous mots qui résonnent. en moi (sauf feu d’artifice qui n’a jamais lieu ici à cause de foule du festival et rique mistral… le faisons après)
    mais la liberté controlée du geste peinte sur ce mur est belle…
    boonne journée ami (me permets)

  • @brigittecelerier : oui, assez – mais tellement éphémère… Merci à vous (vous m’honorez)